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  • Parution le 15 mars 2012

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    Paru le 2 novembre 2009

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Commentaires

"Bush a donc gagné sa guerre inutile"
Cela reste, bien entendu, à voir, mais vous avez l'habitude de conclure alors qu'on en est aux premiers chapitres (voir vos posts sur la non-crise). Vous oubliez ensuite (délibérément, vous n'êtes pas idiot) de dire que l'enlisement Afghan à tout à voir avec la guerre inutile en Irak. Vous oubliez ensuite de noter qu'Obama a répondu aux requêtes en troupes de ses généraux, mais d'une manière limitée, et que les objectifs en Afghanistan sont en cours de révision à la baisse, bien loin de l'idéalisme naïf (pour ne pas dire stupide) de Bush. On ne vous a pas lu critiquer Bush au moment où cela comptait (vaguement).
Vous n'êtes pas sans savoir que la situation au Pakistan se dégrade, avec l'application, sanctionnée par le gouvernement Pakistanais, de la Sharia dans le Nord Ouest. Les talibans et Al Qaeda ont donc un sanctuaire officiel à la frontière de l'Afghanistan. Dans ces conditions, laisser entièrement tomber l'effort Afghan serait suicidaire.
Heureusement qu’il vous reste Reagan! Le grand mythe auquel se raccrochent nos républicains en déroute. Je croyais que vous aviez reporté vos espoirs sur la niaise de Wasilla? Non? Ah bon.

Vendredi 20 février : début de la Très Grande Dépression de 2009.
http://lacrisepourlesnuls.blogspot.com/2009/02/la-plus-grosse-correction-depuis-1929.html?showComment=1235221620000#c1334309855301416822

Bonne lecture.

Société Générale : états financiers consolidés au 31 décembre 2008.
Total dettes : 1 089 116 millions d’euros.
Total capitaux propres : 40 887 millions d’euros, soit seulement 3,75 % des dettes.

http://library.corporate-ir.net/library/21/217/217918/items/324870/87B0CCAB-9166-4D4A-84A1-D62197186AD3_etatsfinancier.pdf

BNP : états financiers consolidés au 31 décembre 2008.
Total dettes : 2 016 581 millions d’euros.
Total capitaux propres : 58 968 millions d’euros, soit seulement 2,92 % des dettes.

http://media-cms.bnpparibas.com/file/38/4/etats-financiers-4t2008.6384.pdf

Pronostic : Sarkozy va nationaliser la Société Générale et la BNP, qui sont déjà en situation de faillite.

Christine Lagarde a déjà commencé à préparer le terrain.

[ 20/02/09 - 17H10 - Reuters ]

Christine Lagarde en faveur de la nationalisation des banques en faillite.

« Il est tout à fait normal de nationaliser des établissement financiers qui ont fait faillite, même s'il n'est guère idéal que des banques soient gérées par des Etats », déclare Christine Lagarde.

S'exprimant à l'école de journalisme de l'université de Columbia, à New York, la ministre de l'Economie a également dit que les dirigeants de tous les pays étaient désormais résolus à ne pas se laisser se reproduire une faillite de type Lehman, dont la chute, en septembre dernier, est largement tenue pour responsable d'une accélération de la crise financière qui a plongé le monde développé dans la récession.

« Si des établissements financiers font faillite, alors il ne fait aucun doute que l'Etat doit intervenir », a dit Christine Lagarde.

http://www.lesechos.fr/info/finance/reuters_00122894-lagarde-en-faveur-de-la-nationalisation-des-banques-en-faillite.htm

Et en Allemagne ?

L'Allemagne veut sauver les banques en expropriant leurs actionnaires.

Face à la débâcle de ses banques, l'Allemagne a décidé mercredi 18 février de recourir aux grands moyens. Elle pourra si besoin les nationaliser en expropriant les actionnaires, une première depuis la Seconde Guerre mondiale.

Un projet de loi a été adopté en conseil des ministres par le gouvernement de la chancelière conservatrice Angela Merkel, et doit être présenté rapidement aux députés du Bundestag. Il prévoit de pouvoir lancer une « procédure d'expropriation » des actionnaires en échange d'indemnisations, une mesure qui court jusqu'au 30 juin 2009.

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/l-allemagne-veut-sauver-les-banques-en-expropriant-leurs/916/0/318381

Pendant que Sorman écrit, Obama agit. Objectif, réduction du déficit budgétaire à 3%.
Les mesures sont excellentes.
- Enfin on va imposer certains revenus financiers commes les salaires!

"The president will propose to tax the investment income of hedge fund and private equity partners at ordinary income tax rates, which are now as high as 35 percent and could return to 39.6 percent under Mr. Obama’s plans, instead of at the capital gains rate, which is 15 percent at most.

- Réimposition au niveau pré-Bush des revenus supérieures à 250K$ et revenus des dividendes et plus-values.

Mr. Obama will also call for letting the Bush tax cuts on income, dividends and capital gains lapse after 2010 for individuals who make more than $250,000 a year.

- Réduction de l'utilisation gouvernementale de sociétés privées (genre Blackwater) qui coûte une fortune:

Reduce spending on private contractors, especially for defense, which spiked during the Bush administration.

En panne, Obama? You must be kidding!

http://www.nytimes.com/2009/02/22/us/politics/22budget.html?_r=1&hp

Doc Obama Toubib or not to be Oscarisé

Récompense du meilleur scénario
Pour Obama, le pasteur des afros
C’est le grand soir ciné la nuit des Oscars
Nominé, cet élu ne serait qu’un tocard ?

Au volant de son Américaine
Fière toujours pimpante en guenille
Le vaisseau vogue avec Barack à la godille
Comment notre élu, grimé en ce piètre capitaine ?

Vedette, Barack Obama Président
Un jeu nouveau qui lui va comme un gant
Avec Hillary second rôle en tonkinoise éphémère
Hollywood va-t-il célébrer ce Slumdog Millionaire ?

Alain


"Les mesures sont excellentes.
- Enfin on va imposer certains revenus financiers commes les salaires!
- Réimposition au niveau pré-Bush des revenus supérieures à 250K$ et revenus des dividendes et plus-values."

En quoi augmenter le montant d’un impôt,c’est-à-dire d’un vol, est-il excellent ?

Le vol ce n'est pas l'impôt, qui est nécessaire à la vie de la nation (sauf pour les mad max, mais il n'en existe pas).
Le vol, c'est ce qui s'est produit ces dernières années, pendant lesquelles une flopées de gens avides et irresponsables ont été couverts d'or avec l'assentiment de conseils d'administration copains-corrompus, alors qu'ils menaient le système financier à l'implosion.
Il y a d'ailleurs un mouvement d'actionnaire qui cherche à récupérer le butin de ce vol organisé.
"After Huge Losses, a Move to Reclaim Executives’ Pay"
http://www.nytimes.com/2009/02/22/business/22pay.html?hp
Il faut appeler un chat un chat: un escroc, même très riche et encravarté, est un vulgaire escroc.

Content de voir aussi que le G20 s'apprête à flinguer du paradis fiscal et à sortir le gourdin régulateur de finance. Le capitalisme, oui, mais dans l'honnêteté et la transparence.

ETF, je te suggère de lire ce scoop de JP Chevallier : au sujet de la Société Générale, du capitalisme, de l'honnêteté, de la transparence, etc.

La Société Générale et le tsunami.

http://www.jpchevallier.com/article-28235583-6.html#anchorComment

"Le vol ce n'est pas l'impôt, qui est nécessaire à la vie de la nation (sauf pour les mad max, mais il n'en existe pas)."

Au lieu de baver de sempiternelles conneries,etf, répondez de manière précise.
Il n’existe que 2 façons de donner son argent : soit volontairement soit contraint et forcé=vol.

1) L’impôt est-il volontaire ? Le contribuable a-t-il le choix de ne pas payer l’impôt ou la taxe ?
2) L’épargnant qui a été escroqué par des types tels que Madoff, a-t-il confié de manière volontaire ou non son argent ?

Pas de dérobades avec de longues phrases ou liens inutiles,etf, une réponse par oui ou par non suffirait.

Rien n'est plus faux de dire que la faillite de Lehman a déclenché la crise : http://www.contrepoints.org/Comment-le-gouvernement-a-cree-la.html

Washington ouvre la porte à une éventuelle nationalisation des banques.

Le Trésor américain a dévoilé lundi 23 février les modalités de son aide aux banques. L'intervention de l'Etat se fera le cas échéant sous forme d'actions préférentielles, convertibles en actions communes, avec droit de vote, si cela s'avère nécessaire.

Le département américain au Trésor a annoncé lundi 23 février les nouvelles modalités de recapitalisation des banques par l'Etat, qui consisteront, si le privé ne peut pas répondre aux besoins en capital, à faire appel aux finances publiques.

Washington ouvre ainsi la voie à une éventuelle nationalisation, au moins partielle, de banques américaines, suivant ainsi l'exemple britannique.

http://www.lesechos.fr/info/inter/300332125-washington-ouvre-la-porte-a-une-eventuelle-nationalisation-des-banques.htm

Sur le coup Afghan,je serait moins Sormanien que sur le reste du billet.On ne sait pas très bien ou cette guerre va se terminer.Mais il est exclus de laisser un état tel l'Afghanistan et le Pakistan aux mains des Talibans.Espérons que le général Pétraeus aye autant de réussite qu'en Irak.

Pour le cas économique,Jacques Marseille prof d'histoire et d'économie l'a encore dit recemment que les relances publics n'ont jamais fonctionné.

Sorman n' a surement pas tort.Tant que des banques insolvables resterons sous perfusion,celà ne va pas encourager la circulation de la monnaie par prêt inter-bancaire.

D.J

"Content de voir aussi que le G20 s'apprête à flinguer du paradis fiscal et à sortir le gourdin régulateur de finance. Le capitalisme, oui, mais dans l'honnêteté et la transparence."

...Et aussi pour emmerder les Suisses et leurs secret bancaire.

Ces connards du G20 n'ont pas cru bon d'inviter la Suisse 7ème place financière du monde et parmis les économiesles plus compétitfs du monde.

D.J

"1) L’impôt est-il volontaire ? Le contribuable a-t-il le choix de ne pas payer l’impôt ou la taxe ?"

Bien sûr que c'est volontaire!
D'une part, personne ne vous oblige à vivre dans le monde civilisé. Personne ne vous oblige à acheter une baguette de pain si vous ne voulez pas payer la TVA qu'elle inclue.
D'autre part, en démocratie, la politique fiscale est réglée par des élus du peuple, qui sont élus sur un programme - fiscal en autres.
Appelez çà dictature de la majorité si vous voulez. La même dictature impose des limites de vitesses sur route.

"2) L’épargnant qui a été escroqué par des types tels que Madoff, a-t-il confié de manière volontaire ou non son argent ? "

Oui, volontaire.
Supposons que je confie ma voiture à un prétendu garagiste qui, au lieu de la réparer, file à l'anglaise avec. C'est à peu près le scénario Madoff.
Diriez-vous que ce n'est pas du vol sous prétexte que j'étais volontaire?

Sur les paradis fiscaux et la criminalité financière - étroitement liés à certaines guerres, au terrorisme, à la corruption des politiques - si le droit international pouvait avancer un peu, au moins tout ce foin aurait servi à quelquechose. N'en déplaise aux banquiers suisses...

"D'autre part, en démocratie, la politique fiscale est réglée par des élus du peuple, qui sont élus sur un programme - fiscal en autres."

Sauf en Suisse ou généralement ce sujet est décidé par les urnes avec un certain succès pour les adeptes du moins d'impôt.

Dans ce contexte,il arrive aussi que dans certains cantons Romand (ou l'ou parle Français) comme Genève ou l'on dit non à plus d'impôts tout en s'opposant à moins d'ètat providence.

Les cantons de Suisse allemande sont généralement plus libéraux et moins étatiste.Donc plus logique.

La Suisse n'est pas un paradis fiscal selon les critères de l'OCDE et surtout comparé aux Bahamas,iles Caïman ou Monaco.Mais elle peut le paraître aux yeux de la France.Ce qui peut se comprendre.

D.J

"A new national poll indicates that when it comes to dealing with the economy, Americans have more confidence in the White House and Congress than Wall Street, the banks or auto executives"
http://www.cnn.com/2009/POLITICS/02/23/poll.economy/index.html
Mon pauvre Sorman, tout fout l'camp.... C'est pas Obama qui est en panne, c'est le libéralisme et le Reaganisme qui sont en déconfiture (de fraise).
L'Amérique se jette dans les bras de l'état! Va falloir tout réécrire votre bouquin. Allez-vous devenir antiaméricain?

Vous vous souvenez que j'indiquais à répétition ici (entre autres) que le pire ennemi du libéralisme, c'est le sentiment d'injustice. Et ben voilà, nous y sommes.

« Bien sûr que c'est volontaire! »

Ah ouais, l’impôt est volontaire. Pouvez-vous le dire à mon percepteur ?
Gatien, paierez-vous à ma place, impôt sur le revenu + amende, si je refusais de le faire ?

« Diriez-vous que ce n'est pas du vol sous prétexte que j'étais volontaire? »

C’est un vol caractérisé par le fait que les 2 parties, le garagiste et moi, avons conclu un échange libre basé sur des clauses qui n’ont pas été respectées.
Echange libre, droits individuels de propriété, respect des clauses d’un contrat, ça vous dit quelque chose ?
Mais au bout du compte, si je perdais la voiture, je ne peux en vouloir qu’à moi-même, car personne ne m’avait obligé à la confier à ce garagiste ripoux. Ca s’appelle responsabilité individuelle de ses propres actes.

Je peux me retourner contre le garagiste si j’estime qu’il n’a pas respecté les clauses du contrat. Tout comme les épargnants contre Madoff.
N’ayant signé aucun contrat avec l’état ou avec son représentant, il m’est impossible de contester l’impôt. Ca s’appelle volontaire ça ?

Les relations entre individus sont basées sur l’échange librement consenti.
Celles entre l’état et un individu sur l’échange forcé, coercitif. L’échange libre et volontaire n’existe pas dans ce cas.

De toute évidence, le "Yes! We can" qui a tellement galvanisé les désespérés et les anti-américains durant la campagne, semble laisser de glace, les financiers et investisseurs. À preuve, le nouveau creux boursier à Wall street.

Obama semble peu rassurer les investisseurs avec son "stimulus". Remarquez qu'à ce prix-là, on aurait pu choisir un nom plus costaud.

C'est que M Obama a tellement carburé à la crise financière durant la campagne - alliée inespérée lui ayant probablement permis de grappiller ça et là, plusieurs votes précieux - qu'il a oublié quand il devait arrêter d'agiter l'épouvantail de la grande dépression et de la catastrophe annoncée. Peut-être avait-il une dette envers l'épouvantail? Qui sait.

Une autre grande différence entre le discours et l'action, c'est sûrement son fameux "We are one". En fait, ça semble être plutôt le "We are one... but" les banquiers, les financiers, les riches, les économistes non keynésiens, les environnementalistes non catastrophistes, les dirigeants de constructeurs automobiles...

Où est ce grand rassembleur que l'on annonçait à grand renforts de CNN, d'ABC, de NBC et de CBS ? Où est cet homme rassérénant qui devait apporter l'espoir à tous ?

Jusqu'à maintenant, il n'a fait que faire parader des banquiers et des dirigeants des trois grands afin de les obliger à supplier à genoux les congressmen américains de leur octroyer des subventions afin de survivre. Il ne manquerais que les plumes et le goudron et Obama pourrait personnifier un redoutable shériff dans un western-spaghetti.

De plus, comme il est pathétique de voir les Démocrates saliver à l'idée d'édicter les règles qui régiront les éventuelles banques nationalisées et les futurs constructeurs automobiles sous tutelle.

Ça va être vraiment être beau bientôt.

Mais la quadrature du cercle nous est arrivée aujourd'hui avec la promesse d'Obama de procéder à toutes ses réformes coûteuses en réduisant le déficit budgétaire américain de ...moitié.

Yes We believe !

Yannick Gagné

La crise mondiale de la finance est due en partie à la complexité et au volume des produits dérivés traité ainsi qu'à l'incitation au risque causée par les performances des hedges funds, mais elle est surtout liée aux fondamentaux du crédit: un surendettement des Etats et des citoyens (aux USA et en Europe) et enfin une remontée trop brusque des taux d'intérêts aux Etats-Unis.

Obama était le mieux qualifié pour le job, maintenant son premier gouvernement va effectuer un recentrage dans les 18 mois car la réalité est tenace mais il prend les bonnes initiatives mais l'enfer comme toujours est dans les détails.

Et puis si la finance ne suis pas c'est surtout qu'Obama n'est pas le champion du lobby judéo-sioniste qui, comme chacun sait, controle toute la bourse américaine !

Obama étant pour le dialogue avec les Musulmans, et notament l'Iran, ça exaspère nos petits banquiers. Du coup, ils vont tout faire pour lui mettre des batons dans les roues et ruiner sa politique.

Comme si ruiner les Etats Unis était une option plus enviable que la réussite politique d'Obama !

Echec et matt !

Cher YG, votre critique est superficielle et partisane, tout comme celle de GS - normal. Obama n'agite aucun épouvantail, il essaie de parler vrai, à l'inverse de son prédécesseur pour qui tout allait toujours bien - avec les résultats que l'on sait.
Il est pris entre la perspective d'une implosion du système bancaire aux répercussions inimaginables (il est déjà en faillite), et donc, la nécessité d'un bailout de l'état (sous quelque forme qu'il soit - notons qu'Obama résiste pour l'instant aux appels venant de tous bords, à la nationalisation des banques), et la nécessité impérative pour les US de redresser leur déficits budgétaires à moyen-terme, sous peine de voir les chinois (entre autres) aller investir ailleurs, et de voir la dette américaine downgraded, avec les conséquences que l'on connaît sur les taux d'intérêts.
Dire que le pays est en colère serait un euphémisme. C'est le rêve américain qui s'écroule. La CIA est plus inquiète aujourd'hui de la situation sociale dans le pays, que de la menace terroriste.
Les réformes sont nécessaires. Et notamment, une réforme de l'éthique et de la transparence du capitalisme et de l'état.
Capitaine embarqué sur le titanic après impact, Obama fait pour l'instant un boulot honorable. Personne n'a de boule de cristal, ni de solution certaine à cette situation. Mais ceux qui prêchent le ne "rien faire" ne sont tout simplement pas crédibles.
Petite note amère: l'amérique s'est livrée, par ses excès et son épicurisme (dans le mauvais sens du terme), pieds et poings liés, à une dictature communiste. Le tout, en stigmatisant Pékin, pour faire bonne mesure. Ce n'est pas ce qu'on dit qui compte, mais ce qu'on fait. Les appels au respect des droits de l'homme et les roulements de mécanique ne pèsent pas lourd face à la réelle inféodation financière et économique des USA à la Chine.
Remettre le budget US sur les rails est donc une nécessité impérative. Chapeau à Obama d'avoir mis la question sur le tapis. Enfin, une administration qui se coltine à la réalité et ne prend pas les américains pour des cons.

Ce qui est drole, c'est que cette santé financière chinoise qui leur permet d'acheter des matières premières en Afrique, et prendre des participations dans des entreprises technologiques stratégiques occidentale, c'est le formidable transfert de richesse opéré par les occidentaux eux même qui ont fermer leurs usines, licencier leurs employés, pour aller donner du travail, des capitaux et des projets de recherche aux Chinois.

Ceux ci remercient les occidentaux, on prenant le controle de leurs pays, de leurs industries, de leurs terroirs, avec un impérialisme sans limite, un néo-colonialisme cynique, sans aucune contre-partie démocratique.

Ils ont gagné en trichant sur les règles sociales avec un système esclavagiste, un régime dictatorial... et les occidentaux ont pactisé avec ce diable rouge et ont participé à l'enrichissement et donc au renforcement de ce régime oppresseur et despotique !

Honte aux occidentaux qui ont péché par cynisme, en s'essyant les pieds sur les principes de démocratie, de liberté des peuples et de droit de l'homme, et je dirai purement d'hétique économique.... Car comme des libéraux peuvent-ils cautionner un régime monopolistique, vérouillé à l'opposé radical du libéralisme !

L'Occident a vendu son âme pour une poignée de Yen. Et aujourd'hui le Diable lui réclame son dû.

Quand on voit l'avidité, le cynisme, les manquements à l'hétique, l'hypocrisie des discours de liberté et de régles économiques, de libre concurrence... Quand on voit avec quelle lacheté les Occidentaux ont balancé leurs principes moraux... la chute économique et leur perte d'influence et la colonisation chinoise qu'ils subissent par une puissance étrangère et dictatoriale, je me dit quelque part quelque chose comme

"Bien fait pour leurs gueules à ces bandes de salopards, jeunes, riches, beaux, célèbres qui se croyaient invincibles et qui n'étaient en fait qu'une immense bande d'arrogants arriviste immoraux !"

Maintenant ces occidentaux sauront, mais c'est trop tard, qu'il ne faut jamais pactiser avec le Diable !


"Ah ouais, l’impôt est volontaire. Pouvez-vous le dire à mon percepteur ?"

Quoi? Mad Max se coltine un percepteur?!
Qu'attendez-vous pour profiter de la liberté et des grands espaces? Trouvez un désert, n'importe lequel, et allez vivre loin de notre société encravatée et de ses éternelles contraintes.

"Echange libre, droits individuels de propriété, respect des clauses d’un contrat, ça vous dit quelque chose ?"

Oui, la question est contractuelle. Madoff signait-il des contrats? Je n'en sais rien. A défaut, il faudrait parler de "contrat moral" peut-être.
Enfin, si votre idée est qu'un boursicoteur qui perd son investissement ne peut rien reprocher à personne, je suis globalement d'accord (Madoff : juste un mauvais exemple).

"Les relations entre individus sont basées sur l’échange librement consenti.
Celles entre l’état et un individu sur l’échange forcé, coercitif. L’échange libre et volontaire n’existe pas dans ce cas."

Ce sont des dogmes.

Je pourrais vous répondre que les relations entre individus sont des relations de pouvoir et sont basées sur la violence. Que la construction des sociétés humaines, l'apparition de l'Etat, ont eu tendance à limiter l'arbitraire avec lequel s'applique la loi du plus fort.

Ce serait le dogme inverse, sans aucune valeur de preuve.

J'insiste : vos échanges avec l'Etat sont volontaires. Rien ne vous oblige à garder la nationalité francaise (pour un Mad Max, le statut d'apatride, ça aurait plus de gueule non?).
Rien ne vous oblige à vivre dans le monde moderne.

@ Quimboiseur

Qu'est-ce qui est davantage immoral : Tenter de se sortir du tier monde en stimulant la production intérieure et les investissements étranger en donnant accès à une main d'oeuvre bon marché ou payer très grassement des visseux de boulons chez GM?

Les délocalisations ne sont pas qu'affaires de producteurs, mais aussi - sinon plus - affaires de consommateurs.

Vous voulez que les banques fassent moins de profits, mais vous êtes les premiers à vous débarasser de vos actions si elles ne rapportent pas assez.

Vous oubliez trop souvent que vous êtes des deux côtés de la clôture à la fois.

En passant, je n'ai pas raillé le désir d'Obama de vouloir réduire le déficit, au contraire. Toutefois, est-ce que quelqu'un pourrait lui expliquer qu'en augmentant les dépenses et en réduisant les revenus, on ne peut réduire le déficit?

Yannick Gagné

@ETF
vous dites : ""1) L’impôt est-il volontaire ? Le contribuable a-t-il le choix de ne pas payer l’impôt ou la taxe ?"

Bien sûr que c'est volontaire!
D'une part, personne ne vous oblige à vivre dans le monde civilisé."

Tiens tiens ... votre slogan serait-il "la france on l'aime ou on la quitte? je ne vous avez pas imaginé comme étant quelqu'un d'extrême-droite! voilà une information intéressante.

"Content de voir aussi que le G20 s'apprête à flinguer du paradis fiscal et à sortir le gourdin régulateur de finance."

Ah ben oui, ça confirme mon hypothèse! vous semblez aimer les marches au pas et la violence armée ...

merci ETF de nous révéler votre nature. Joli comming-out ;-)

Pour la première citation, c'était pas du ETF, c'était du Gatien...

Heureux que vous ayez relevé l'analogie avec "la France on l'aime ou on la quitte", mais je ne comprends pas pourquoi vous parlez d'extrême-droite.
Cette phrase à double tranchant a été prononcée par le candidat Sarkozy.
Qui n'a pas l'air de l'aimer beaucoup, la France, à l'entendre en parler.

"Enfin, si votre idée est qu'un boursicoteur qui perd son investissement ne peut rien reprocher à personne, je suis globalement d'accord (Madoff : juste un mauvais exemple)."


Quand vous signez un contrat avec Madoff, qui vous vend 8% de rendement par an, c'est un contrat !

S'il ne le respecte pas, c'est de l'escroquerie !

J'ai vu l'autre jour un gars de 90 ans qui reprenait le travail car il avait tout perdu à cause de Madoff...

Et j'ai aussi entendu des gens dire qu'on ne pouvait pas arrêter Madoff car on avait aucune preuve contre lui... On croit rêve ! Madoff n'a rien fait ! Les millions de gens qui ont perdu leur milliards... bien fait pour eux, ils n'ont aucun recours !

Ca confirme en tout cas ce qui se dit très souvent dans la rue.

Quand Mamadou vole 50 €, il se fait casser le bras et va en taule. Quand Madoff vole 50 milliards d'euros, y'a pas de preuve, personne n'a rien vu, non seulement il ne va pas en taule, mais en plus faudrai presque lui présenter des excuses pour calomnies !

Putain j'ai la nausée ! Eliminez moi ce monde de pourris ! Qu'on change de civilisation s'il vous plait ! Car une crapule, même avec une cravate et une rolex, ça reste quand même une crapule !

"Mon pauvre Sorman, tout fout l'camp.... C'est pas Obama qui est en panne, c'est le libéralisme et le Reaganisme qui sont en déconfiture (de fraise).
L'Amérique se jette dans les bras de l'état! Va falloir tout réécrire votre bouquin. Allez-vous devenir antiaméricain?"

Mon pauvre ETF,vos arguments serait valable si le libéralisme serait le seul coupable de la crise.Vous ometez toujours le rôle de l'état voté par les démocrates Carter et Clinton pour garantir a ce que tout les américains puissent se payer une maison.Ce ne sont pas les conservateurs reaganien qui ont garanti les crédits toxiques de Fanny Mae et Freddy Mac.On voit le résultat.

L'état nationalise ses conneries,on aura tout vu.

D.J

"Remettre le budget US sur les rails est donc une nécessité impérative. Chapeau à Obama d'avoir mis la question sur le tapis. Enfin, une administration qui se coltine à la réalité et ne prend pas les américains pour des cons."

Les plan de relance public n'ont jamais marché.On assiste à une hystérie collective des gouvernenment sur qui aura le plus dépenser pour ce donner bonne conscience à son éléectorat.

D.J

DJ, vous avez raison. Les torts sont partagés. Mais attention à ne pas tout mettre sur le dos de la puissance publique. Nous allons assister à un renforcement de la réglementation, et l'on assiste, parce qu'il n'y a pas d'alternative crédible, à une étatisation de l'économie. Le libéralisme (ou laisser-fairisme) mène donc à l’étatisme. Ce qui n’est pas le moindre des paradoxes.

"Le libéralisme (ou laisser-fairisme)"

Non ! Je ne suis pas d'accord avec cette définition !

Le laisser-fairisme c'est laisser les trafiquants de drogue circuler librement.

C'est laisser les pédophiles amadouer des enfants sur Internet.

C'est laisser les tueurs psychopathes se promener tranquillement dans les rues.

C'est laisser les escrocs vendre des rendements à 12% garantis pendant 20 ans !

C'est laisser les terroristes planifier leurs attentats tranquillement !

C'est laissez des medecins auto-proclamés charcuter tranquillement des patients et les rendres infirmes à vie.

Bref, le laisser-fairisme c'est l'anarchie la plus complète !

Le LIBERALISME c'est l'ETAT DE DROIT !

Le libéralisme c'est le respect de la parole donnée, le repesct des contrats signés, avec toute une infrastructure judiciaire, policière et carcérale, pour tous ceux qui n'honorent pas leurs engagements !

Le libéralisme c'est le monde de la règle respectée, de la loi respectée, de la morale respectée.
Le libéralisme c'est le règne de l'ordre !

Ce que nous avons vécu ces dernières années c'est le règne de l'anarchie provoquée par l'avidité du profit à court terme.
C'est le règne des passe-droit et des escrocs.

Des gestionnaires de fonds boursiers dont les beau-frère à la SEC sont chargés d'enquêter sur leurs agissements.

Des auditeurs qui maquillent les comptes d'Enron car ils sortent avec les employés d'Enron, couchent avec eux, ou ont des interressements...

Toutes ces dérives ne sont pas du libéralisme... Mais une rupture du libéralisme, une absence d'Etat de droit, une absence du respect des règles !

De toute façon le libéralisme 100% pur n'a jamais été appliqué sur terre. Il y a toujours des Etats trop pressé de faire jouer leur influence. Il y a des hommes trop empressés de faire jouer leur passe-droit. Il y a toujours des malins pour contourner les règles !

Un pays où il n'y a jamais eu ni crime, ni délit, ni escroquerie, ni fraude, un tel pays où la LOI n'est jamais violée, un tel pays n'a jamais existé sur Terre. Donc le vrai libéralisme dans sa dimension la plus pure n'a jamais existé sur Terre !

"parce qu'il n'y a pas d'alternative crédible, à une étatisation de l'économie."

Vous plaisantez j'espère!!! ça pourrait se comprendre si celà venait de Besancenot.Mais vous?

A moins que vous voulez parler d'intervention public obligatoire pour préserver dans le futur l'économie de marché?

D.J

Aujourd'hui, l'alternative à l'étatisation (nationalisation rampante des banques, entre autres), c'est le chaos. Besancenot n'a rien à voir là dedans. Ce n'est même pas une question d'idéologie. Les appels à la nationalisation franche et massive viennent d'ailleurs de toute part (Greenspan et des Républicains proéminents y-compris), et pour l'instant, Obama résiste. A-t-il raison? Je ne sais pas.
Vous-voulez, vous, que votre gouvernement laisse UBS ou CS s'effondrer?

"Parce qu'il n'y a pas d'alternatives crédible à l'étatisation de l'économie"

Péremptoire et idéologique !

Ce n'est pas parce que vous ne voyez aucunes autres alternatives, que ces dernières n'existent pas et qu'elles seraient automatiquement dénuées de crédibilité.

Évidemment, si ça ne vient pas du gourou...

Yannick Gagné

J'ai répondu à ETF,mais j'ai eu un doute que le comm.ait passé.Je vais recommencer,tant pis pour le doublon.

"Vous-voulez, vous, que votre gouvernement laisse UBS ou CS s'effondrer?"

Il y a une différence entre nationaliser et soutenir financièrement (prêt)Ce fut la cas pour UBS par principe de précaution.Le crédit Suisse à refuser toute aide public malgré plusieures milliards de pertes.

Le risque avec les nationalisation,c'est de voire les idéologues de faire une affaire politique à chaques fois que la banque mêne une stratégie qui déplait.

C'est le rêve des socialistes suisse et de l'extrême gauche avec l'UBS.Nationaliser et que chaques investissements et prêts par la banques soit accrédité démocratiquement.Donc par le peuple.Si si c'est pas des conneries.Nous avons la gauche la plus archaïque d'Europe.

D.J

Le Président de la FED Ben S. Bernanke témoigne devant le Sénat :

Un plan de restructuration financière régulé de veine social-démocrate sans équivoque; en quatre points:

First, a new capital assistance program will be established to ensure that banks have adequate buffers of high-quality capital, based on the results of comprehensive stress tests to be conducted by the financial regulators, including the Federal Reserve.

Second is a public-private investment fund in which private capital will be leveraged with public funds to purchase legacy assets from financial institutions.

Third, the Federal Reserve, using capital provided by the Treasury, plans to expand the size and scope of the TALF to include securities backed by commercial real estate loans and potentially other types of asset-backed securities as well.

Fourth, the plan includes a range of measures to help prevent unnecessary foreclosures. Together, over time these initiatives should further stabilize our financial institutions and markets, improving confidence and helping to restore the flow of credit needed to promote economic recovery.

A propos de la chute de Lehman Brothers et de son effet domino, BB a compris la leçon :"they are financial institutions too big to fail ».

Les plus grandes banques (15-20) sous contrôle, la Fed avec une équipe d’experts privés sous mandat pour surveiller les ratios qualitatifs.

Ouïe, Ouïe le libéralisme américain ! La refondation du capitalisme selon NS est en route pour le 3 avril à Londres, aucun doute !
Alain

Vous confondez nationalisation idéologique, et nationalisation parce qu'il n'y a plus d'autre solution. Une nationalisation temporaire.
La puissance publique a déjà avancé aux banques beaucoup plus que leur valeur en bourse. Si l'état était un acteur privé, les banques lui appartiendraient déjà en totalité. Il les aurait rachetées pour 1 dollar symbolique. Qu'on l'accepete ou non, c'est l'état qui sauve aujourd'hui les banques. L'alternative étant de laisser s'effondrer tout le système (comme des dominos). Seuls des idéologues aveugles peuvent préférer une telle solution et personne (d'influence) ne l'envisage.
Même les républicains les plus conservateurs appellent aujourd'hui aux nationalisations temporaires. Wake up.

ETF dit "Wake up".

Lui même, s'il ne dort pas, il rêve éveillé s'il croit que la nationnalisation des banques est la seule voie envisageable. Comme Obama, il souhaitait ardemment cette crise. En tout cas elle sert drôlement bien son idéologie.

@Gatien
« Quoi? Mad Max se coltine un percepteur?!
Qu'attendez-vous pour profiter de la liberté et des grands espaces?
J'insiste : vos échanges avec l'Etat sont volontaires. »

Bien beau tout ça, mais vous n’avez pas relevé mon pari : si l’impôt est volontaire comme vous le dîtes, seriez-vous prêt à payer mon impôt sur le revenu + majoration si je ne le faisais pas ?

Il semble que Ben Bernanke et ETF soient en désaccord sur l'absolue nécessité de la nationalisation des banques.

Évidemment, c'est notre alarmiste catastrophiste de service qu'on doit écouter...;->

"Bien beau tout ça, mais vous n’avez pas relevé mon pari : si l’impôt est volontaire comme vous le dîtes, seriez-vous prêt à payer mon impôt sur le revenu + majoration si je ne le faisais pas ?"

Ca se discute.
En fonction de vos revenus, du nombre de vos enfant, etc. ;)

Je ne comprends pas le sens de la question pour être honnête.

Si je réponds non, il se passe quoi?

Ce n'est pas moi qui décide pour vous de rester inséré dans la société. Je ne vois pourquoi j'en assumerai le prix.

« La goutte d’eau a fait déborder le vase : lors de sa réunion, jeudi 19 février, le conseil d’administration des Caisses d’Epargne a adopté une résolution s’opposant vigoureusement à toute entrée de l’Etat dans son capital.

Le résultat ne s’est pas fait attendre : François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Elysée, a aussitôt convoqué les dirigeants des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires – Bernard Comolet et Philippe Dupont – pour leur passer un savon. Et leur annoncer la bonne nouvelle : l’Etat va prendre jusqu’à 20 % du capital du futur établissement issu de la fusion entre les deux groupes. Avec, en prime, cette information : « Désormais, le patron, c’est moi ! »

Tête des intéressés : « Ils étaient estomaqués et livides en sortant de l’Elysée » raconte un témoin de cette petite réunion amicale.

Dans ce nouveau groupe, l’Etat disposera de quatre administrateurs (sur 18), lesquels présideront le comité des rémunérations et le comité d’audit. »

( Le Canard Enchaîné, 25 février 2009, page 3 )

Conclusion : les banques françaises sont en faillite. Les banques françaises sont mortes. L’Etat est donc obligé de les nationaliser pour les sauver de la faillite. L’Etat a commencé par nationaliser DE FACTO la Caisse d’Epargne.

Prochaines banques à être nationalisées : la BNP et la Société Générale.

Aux Etats-Unis, c’est exactement pareil. Les banques américaines sont en faillite. Les banques américaines sont mortes. Paul Krugman les compare à des morts-vivants, à des zombies.

http://www.nytimes.com/2009/02/23/opinion/23krugman.html?_r=2

C'est pas une goutte d'eau ! C'est un pavé dans le verre d'eau !

Alors, Guy, vous trouvez toujours qu'Obama est en panne? Ce n'est vraiment pas sérieux.
Obama, lui, l'est:

WASHINGTON – President Obama will propose further tax increases on the affluent to help pay for his promise to make health care more accessible and affordable, administration officials said on Wednesday.
http://www.nytimes.com/2009/02/26/us/politics/26budget.html?_r=1&hp

Le Pentagone va enfin lever cette (ubuesque et scandaleuse) interdiction, établie sous Rumsfeld and co, pour la presse de filmer ou photographier le retour des cercueils des soldats tués aux fronts (Irak/Afghanistan).
Vas-y Barack, continue à être en panne comme ça!

Wow! ETF, quelles décisions cruciales et courageuses.

À force d'abaisser la barre, c'est certain, Barack sera le champion de quelque chose.

Go Barack Go

YG

Il est vrai que cette censure plaçait très haut la barre de la connerie. Crétinus, champion du monde!
Allez, on fait un pt'tit coup de MC Soler (AKA Sarkofan) pour fêter ça...
Cause, YG, cause,
Mais pendant qu'on le glose,
Barack fait les choses...

@Gatien
« Je ne comprends pas le sens de la question pour être honnête. »

Les limites de mes capacités d’explication sont dépassées par celles de votre entendement.
Vous ne comprenez ou ne voulez pas comprendre la différence entre échange volontaire et échange forcé.

Supposez que je vienne braquer un flingue sur votre tête :
« Ecoute, mon gars, j’ai tout lu Keynes. File moi ton fric, en ce temps de crise tu dois te montrer solidaire, je sais comment le dépenser utilement pour la société, j’ai le sens de l’intérêt général et du long terme, moi, pas comme toi,pouilleux de rentier capitaliste.»
Selon votre raisonnement absurde, je dirai que vous êtes volontaire pour me donner votre fric.
Puisque vous avez le choix entre payer ou quitter le monde terrestre, tout comme selon vous, j’ai le choix de payer l’impôt ou quitter la France.
Pourtant, un être sain d’esprit qualifierait cet acte de vol ou de racket.

Conclusion de ceci : toute personne en faveur d’une augmentation de l’impôt/taxe est un crétin ou un escroc.
Le politicien, s’il lui reste quelque honneur ou morale, se doit de favoriser la baisse continue des prélèvements obligatoires et des dépenses publiques.

Dans le fonds, ETF, n'est-ce pas celà le bonheur ! S'émerveiller devant les petites choses de la vie !

Smaller is better ...

YG

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