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  • Parution le 15 mars 2012

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    Paru le 2 novembre 2009

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« ''Burqinis'' notwithstanding, France isn't being Islamized. | Accueil | Lévi-Strauss à New York »

Commentaires

Si personne n'avait prévu sa chute,il est claire que bien des personnes avec un semblant de réalisme économique que ce système n'était pas viable éternellement.

En tout cas il est à noter que pour les 20 ans de la chute de ce symbole liberticide en Allemagne,coïncide avec le renouvellement du parlement de cette dernière qui est devenu encore plus libéral.

D.J

Le communisme en URSS, c' était le paradis. D' après Fukuyama dans la fin de l' histoire, les soviétiques ne travaillaient que 2 heures par jour seulement.Tout le monde avait un logement gratos avec des charges modiques. La Biélorussie est demeurée communiste et connais actuellement un taux de croissance de 10% par an.

Le libéralisme n'a jamais été représenté politiquement en France, en dehors d'un très court intermède chiraquien et d'une présence plus courte encore de Madelin à l'économie. Intermède vite renié.
Nous avons actuellement 11% d'électeurs communistes ou crypto-communistes,9% d'électeurs d'extrême droite. Le reste pourrait être qualifié de social-démocrate à différentes sauces, l'écologique étant la plus récente.
Il n'en reste pas moins que l'illusion communiste reprend du poil de la bête chez les jeunes, qu'ils soient issus de milieux populaires ou étudiants comme à Normale Sup.
La France ne sait plus trop où elle en est. Qu'on en vienne à parler d'identité nationale est assez révélateur.
La France me fait l'effet d'un grand vide. On ne croit plus en rien, surtout pas en soi-même.
Le libéralisme est au minimum méconnu et le plus fréquemment détesté...
Oui, actuellement, on songe surtout au pain quotidien, ou à la grosse bouffe, pour ceux qui en ont encore les moyens.

Libéralisme en France est égal à néo-libéralisme.
Et comme bien des libéraux français eux-mêmes ne conçoivent le libéralisme qu'à travers ce raccourci, logique qu'ils se plantent.

() GS: « Chez certains dirigeants occidentaux comme François Mitterrand, on espéra que la destruction du Mur ouvrait la voie à un nouveau socialisme, à visage humain »

Si la Grande Bretagne de Margaret Thatcher était ouvertement hostile à une réunification de l’Allemagne et posait des conditions impossibles, telle ne pouvait être la position de la France qui, contrairement au Royaume-Uni, avait signé le traité de l’Elysée, traité de paix et d’amitié entre les deux peuples. La France reconnaissant au peuple allemand le droit à la réunification.

Voici ce qu’écrit Reinhard Schäfers, Actuel Ambassadeur d’Allemagne en France à l’occasion de ces anniversaires (1989 & 1949) : « Le Traité de l’Élysée signé en 1963 fut la pierre angulaire de cette évolution : sans la réconciliation franco-allemande, la réunification des deux Allemagne n’aurait pas été possible. »

http://www.paris.diplo.de/Vertretung/paris/fr/01/amb__Schaefers/interventions/Le__Figaro__24__05__2009__datei,property=Daten.pdf

() GS: « Ce n’est qu’en octobre 1990, que l’Allemagne... fut réunifiée. »

Vous semblez dire que cette réunification fut acquise relativement lentement alors que pour de nombreux observateurs cette réunification fut au contraire extraordinairement rapide entre les dix points des propositions d’Helmut Kohl du 29 novembre 1989 et octobre 1990 ; l’absence de planning et la rapidité furent interprétées comme la clé du bouclage réussi de cette réunification.

« ...la nouvelle puissance tierce, ...De Gaulle et Mitterrand, l’Union européenne est devenue une vaste zone de libre échange... qui ressemble plus à ce que fut l’Empire ottoman qu’à une troisième force neutraliste »

Si la France a pu faire preuve d’indépendance et prôner une Europe forte, Il me semble que ni elle ni l’Allemagne n’a souhaité voir l’Europe jouer un rôle de troisième force neutraliste, toutes deux ont toujours marqué leur attachement à leurs alliés de l’Alliance Atlantique et plus particulièrement à l’allié américain, que ce soit De Gaulle (crises: Cuba-Berlin) ou Mitterrand, il ne pouvait être question de neutralité entre les deux blocs pour ces deux nations.

Quant à comparer l’UE à une vaste zone de libre échange ressemblant à l’Empire ottoman, il s’agit là d'une vision Etatsunienne :

- longtemps réticente aux différentes phases de l’intégration européenne dont la Politique de Sécurité et de Défense Européenne (attachement à la PSDE, développée par l’Ambassadeur Allemand dans le lien de mon commentaire précédent)et,
-position américaine réaffirmée par BH Obama qui pousse l’UE à intégrer la Turquie

La crise financière mondiale aura eu comme conséquence un resserrement des européens autour des acquis de l’UE et de son traité de Lisbonne (proche du Traité Constitutionnel TCE) sans les symboles :

-rapprochement de la banque d’Angleterre et l’Eurogroup, accords d’octobre 2008 (Brown-Darling ; NS-Trichet-Junker)
-triomphe du référendum irlandais
-accord du récent sommet européen sur la mise en œuvre du traité pour la fin d’année 2009

Du coté Tchèque & UK on notera la sourdine à la menace de référendum, au contraire on observe un intérêt croissant des britanniques pour les institutions et les nouveaux postes à pourvoir au sein des institutions.
Alain

GS,

Quelques critiques mais un bon billet d’aventures contemporaines extraordinaires.

Il est vrai que ce fut un évènement considérable, longtemps espéré sans trop y croire.

Les conditions pacifiques qui ont accompagné ces bouleversements ont tenu du miracle, Jean-Paul II y veilla probablement…

"Au terme de ces deux années d’hésitation, il fut enfin admis par les peuples directement concernés et leurs dirigeants que n’avait jamais existé qu’un seul communisme, le communisme réel. Et qu’il ne pouvait pas en exister un autre qui serait idéal et distinct de son expérience historique." (GS)

Il serait bon que les Occidentaux comprennent dès maintenant qu'il en va de même pour l'islam. Et qu'ils prennent rapidement les décisions qui s'imposent.

Car si le communisme n'a duré que soixante-dix ans, l'islam a près d'un millénaire et demi au compteur.

() Le communisme soviétique aura doublement échoué :

-Échec d’avoir voulu substituer une spiritualité Sociale organisée, aux croyances religieuses traditionnelles,

-Echec d’une organisation de la société Caporalisé et Liberticide (pas le premier ni probablement le dernier).

() L’Islam religieux, quoiqu’il fasse, aura toujours Six Siècles de Retard.
Etant toujours Moyenâgeux cela ne le rend pas moins dangereux. Dans son cycle d’évolution, il aspire à concentrer aujourd’hui tous les pouvoirs, spirituel & matériel.

Vue de Washington, si l’Europe se borne à une vaste zone de libre échange, elle évoquera moins d’intérêt des Etats-Unis. Les américains apprécient une Europe qui s’unifie sur les grands dossiers internationaux et qui agit ensemble dans le but de les résoudre.

Peut-être, GS veut dire que cette vision d’Europe n’est plus réaliste après la chute du Mur. Peut-être le centrage européen des politiques, tel de la couple France-Allemagne d’antan, n’est plus défendable. Si j’ai raison, alors les rapports entre les E-U et l’Europe vont s’apaiser dorénavant.

Interprétation grossière et partisane des évènements.

Faire de la chute du mur une victoire idéologique de l'ultracapitalisme et du tout-privé est évidemment une contre-vérité énorme.

La victoire de l'ultracapitalisme ne procède de l'inéluctable mais bien d'une volonté idéologique organisée, couplée à celle de revanche et d'humiliation du "perdant" : la Russie. Erreur grave, l'humiliation d'un pays, surtout de la Russie. ca vous reviendra direct dans la gueule. Russie dont vous ne parlez d'ailleurs pas dans votre Grosse Europe du fric et dont les peuples ne veulent pas.

Une excellente analyse de l'ère post-soviétique a été délivrée par Alexandre ZINOVIEV, qui eut le prix Alexis de Tocqueville mais entre temps s'est détourné de l'occident, dégoûté par les gens de votre espèce.

http://iaboc.hautetfort.com/archive/1999/01/01/pourquoi_je_rentre_en_russie.html

Evidemment, tous les torchons à la mode et les faux-intellectuels genre Glücksmann, BHL, Kouchner éludent ce point de vue trop percutant. Le livre de Zinoviev, "La grande rupture", n'est publié que par des éditions alternatives.

Pourtant, la réalité, c'est ça.

En occident, on s'est servi, dans les années 60, 70 et 80, de la "démocratie" pour abattre l'URSS ; mais une fois celle-ci abattue, l'ultracapitalisme n'avait plus besoin de la démocratie et l'a jetée aux poubelles : les idiots utiles en ont été pour leur compte. La meute des chiens se sont alors crus en droit d'abattre tout ce qui ressemblait à des droits sociaux et à des services publics. On a senti le tournant du fric, le retour de la ringardise, le tournant de la répression et la fin de la récréation dans les années 93-94. Années de merde. Tout pourrissait, tout disparaissait, notamment l'artisanat et les petits commerçants : place aux chacals Carrefour, Leclerc, Bouygue et autres porcs.

En Russie, on a importé la drogue, les putes, la bourse, la spéculation ; le niveau de vie de la population a baissé de 10 ans depuis l'instauration de la pourriture occidentale. Les Russes, majoritairement, sont dégoûtés et, sans vouloir revenir à l'URSS, pensent que c'était mieux avant.

Sachez que l'ours humilié ne se laissera pas traîner dans la boue. Poutine a remis certaines choses sur les rails, mais ce n'est qu'un début. L'ours blessé se relève et son agresseur va morfler.

Mais des bouffons, ne voyant pas cela venir, continuent à se foutre de lui, augmentant sa colère. Il y a eu 1999 et le bombardement de la Serbie ; maintenant Sarkozy, Bush et les autres crétins voudraient que l'Ukraine rejoigne le L'OTAN. Ils vont ne dire à Kiev, ancienne capitale de la Russie : leurs connards de "conseillers en communications", sortant de chez Publicis, ne leur ont pas que ce n'était pas trop l'endroit ? Tout cela leur reviendra dans la gueule.

Au fait, ça sert à quoi, l'OTAN. Ca servait à contrer le pacte de Varsovie ? Maintenant que ce pacte n'existe plus, pourquoi l'OTAN n'a pas été dissout ??
C'est pas la preuve évidente que l'épouvantail soviétique n'était qu'un chiffon rouge pour appuyer une autre idéologie totalitaire, celle que vous étalez impudemment sur ce blog ?

"Loin de devenir la nouvelle puissance tierce, dont rêvèrent De Gaulle et Mitterrand, l’Union européenne est devenue une vaste zone de libre échange, et une configuration culturelle à l’identité floue qui ressemble plus à ce que fut l’Empire ottoman qu’à une troisième force neutraliste."

Il faut arrêter de prendre ses désirs pour des réalités !

Les européens élaborent chaque jour un droit européen qui supplante petit à petit les particularismes locaux.

Le sentiment d'appartenance européen, même si il est moins fort aujourd'hui qu'il y a dix ans, renaîtra, se renforcera, car il repose sur la RÉALITÉ d'une histoire, d'une civilisation, d'un espace.

L'erreur est la légende douloureuse.

L'histoire de l'Europe ne se limitte pas à la Shoah ou au Goulag.

La volonté d'ignorer, de rabaisser, de noircir ce que fut, ce que peut être l'Europe est apparentée à la barbarie qui a voulu détruire l'Europe, pas à sa civilisation QUI EST SANS ÉGALE.

L'Europe est un espace géographique, esthétique, sentimental, sacré.

Le réalisme est le faux-nez du pessimisme ; il est TOUJOURS d'extrême-droite, nationaliste ; c'est la loghorrée d'un esprit dépressif qui se prétend égoïste ; il conduit invariablement aux désastres qu'il annonce et prétend combattre : c'est sa cohérence.

La cruauté, c'est un manque d'imagination. Le désespoir, le début de la méchanceté.

"En Pologne, les apparatchiks communistes tentèrent aussi de se reconvertir à une Troisième voie : une partie des Eglises catholiques polonaise et tchèque, protestantes en Allemagne, s’y rallièrent avant que Jean-Paul II , sans enthousiasme mais lucide, admette que l’économie de marché seule pouvait sortir l’Europe de l’Est de la pauvreté."

Le titre du futur bestseller de G.S. dévoilé : le D'Attali Code
Il s'essaye à un nouveau genre, le thriller, mais comme disait l'autre : même pas peur.

Le mot "communisme" est tabou à la télévision française:
Depuis deux mois que sont diffusés des reportages sur la "Chute du mur", à l'occasion des championnats mondiaux d'athlétisme à Berlin cet été, jusqu'à hier, pas une fois je n'ai entendu le gros mot. Un journaliste ( américain) sur BFM a tout de même sauvé l'honneur de sa profession hier soir.

Le point d'orgue de la morgue journalistique ayant été sur France 2 un reportage rétro consacré à Rostropovitch et son coup médiatique au pied du mur. Ce qui a le plus intéressé le journaliste est l'anecdotique, en l'occurence la difficulté de trouver une chaise pour le contrebassiste.
Ils ont, en revanche, trouvez à la pelle des nostalgiques d'avant. Formidable.

@Rodolphe Dumouch

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_de_la_Russie

"Sachez que l'ours humilié ne se laissera pas traîner dans la boue. Poutine a remis certaines choses sur les rails, mais ce n'est qu'un début. L'ours blessé se relève et son agresseur va morfler. "

Pour ce qui est de déconner, tout le monde fait confiance aux Russes.

D'ailleurs, Poutine a trouvé mieux que l'ours (sans devenir plus urbain) : le tigre de Sibérie.

Au fait, le tigre de Sibérie, ce n'est pas une espèce en voie d'extinction ?

Vous connaissez la nouvelle blague polonaise :
La Russie n'existe pas.

@Angela Merkel

http://abonnes.lemonde.fr/europe/article/2009/11/03/angela-merkel-s-exprime-devant-le-congres-americain-20-ans-apres-la-chute-du-mur-de-berlin-et-50-ans-apres-konrad-adenauer_1262064_3214.html

" L'occasion de remercier les Etats-Unis, "de vrais amis", pour leur contribution au processus de réunification allemande qu'ils ont accompagné "avec beaucoup d'enthousiasme et d'affection", selon les mots de la chancelière, elle-même issue de l'ex-RDA."

Suivez mon regard : on a du mal a mesurer les conséquences de la bêtise de Mitterand.

Il est vénéré en France pour son sens politique : comprenez son acharnement à s'accorcher au pouvoir.

Pour le reste, il fut pétainiste convaincu, partisan de l'Algérie française, contre la réunification de l'Allemagne, contre l'intervention alliée en Yougoslavie, pour le Hutu power sous prétexte de soutenir la francophonie.

Nous n'avons pas fini de payer les erreurs de cette girouette qui indiquait toujours la mauvaise direction.

Vous reprendrez bien un verre de Ribbentrop-Molotov :
"L'Affaire Guy Môquet. Enquête sur une mystification officielle", de Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre : malaise dans la commémoration
http://abonnes.lemonde.fr/livres/article/2009/11/03/l-affaire-guy-moquet-enquete-sur-une-mystification-officielle-de-jean-marc-berliere-et-franck-liaigre_1262145_3260.html#xtor=RSS-3260

Et bien, la chute du mur et surtout, sa signification physique, la fin du communisme en Europe de l'est, attire les commentaires on dirait. Y compris des croyants qui pense encore que ce système est encore viable sans être une horrible dictature. Si l'URSS a vécu si longtemps, c'est uniquement à cause qu'elle vendait ses ressources naturelles à l'occident libre, surtout ses deux amis traditionnels que sont encore le gaz naturel et le pétrole. Le communistme, tout comme l'Islam, justifiait un pouvoir dictatorial qui commettait les pire crime contre l'humanité au nom d'un idéal d'égalité impossible à réalisé. Gorbatchev et les apartchiks de l'époque s'en sont rendu compte et ont cru naïvement que ce système pouvait survivre sans répression. Le système capitaliste est basé sur la liberté et la réalité des obligations de productions nécessaire à la survit de toute société. Le communisme, incapable de produire et d'innover, se devait de piller les ressources de productions occidentales pour survivre. Ou comme l'URSS, de troquer ses ressources naturelles contre des biens de consommations aussi basique que l'alimentation qu'elle n'était même pas capable de produire en quantité suffisante pour nourrir ses populations. Les Américains l'avaient bien compris et ne se les ont pas laissés faire.

Ceux qui me prennent pour un "nostalgique" de l'URSS vont y être pour leurs frais !

Quand le mur est tombé, j'étais un lycéen très anticommuniste. Eh oui. Je pensais aussi - c'est l'objet du mépris de M. Sorman - que les économies de l'est et de l'ouest allaient peu à peu se rapprocher et tendre vers une social-démocratie. J'ai voyagé dans les pays de l'Est pour rencontrer mes nouveaux concitoyens que je voulais découvrir avec enthousiasme.

Seulement, j'ai vite été dégoûté par la tournure des évènements, par la parade des chiens ultralibéraux, et surtout par la façon dont on a traité la Russie ; j'ai alors juré de me mettre du côté de cette nation qui a, j'en ai l'intime convistion, un destin historique unique.

Plus près de moi, j'ai vu ceux qui m'ont craché (physiquement, pas au sens figuré) à la gueule parce que j'étais dans un lycée privé, rentrer dans des écoles de commerce de merde à 30000 balles l'année. Les mêmes, alors, se foutaient de moi qui étais à l'université publique.

J'ai vu des merdes humaines, anciens communistes, genre Jacques Marseille, Denis Kessler et bien d'autres virer à l'ultracapitalisme. On devine ce qu'ils auraient suivi en 40.

Je suis alors passé à gauche vers 1993 quand les moutons de panurge et les beaufs passaient tous à droite, amenant l'ignoble Balladur.

Nous faire croire que l'ultracapitalisme mondialiste était "inéluctable" est évidemment une foutaise, un nouveau mythe, une idéologie dont le devenir doit être le même que celui du mur de Berlin.

Cela dit, de nos jours, je ne dédaigne pas le vote rouge, parce que pour être communiste en 2009 il faut avoir des couilles tandis qu'être libéral est accessible au confort et au conformisme de tous les faux intellectuels anciens gauchistes : Glücksmann, BHL, Kouchner et tous les autres suppôt des médias Bouyguesques et Dassaultesques.

Arrêtez de vous prendre pour des résistants. Le village d'Astérix était minoritaire en Gaule. Vous êtes dans la position du collabo romain au village d'Astérix : qui est pour la pensée unique ??

Vu avant-hier un très bon documentaire sur la chute du mur.

Je donne raison à Guy Sorman sur un point.

Tous ces gens qui criaient "Gorbi, Gorbi", cela signifiait une seule chose : "le grand chef ne t'a pas autorisé à me tirer dessus" et c'était adressé au flic en face.

Le communisme est mort, peut-être plus rapidement que prévu, parce que le régime a essayé d'avoir un visage humain, d'avoir l'air gentil, alors que tout le monde savait qu'il était criminel.

C'est Zinoviev, non, qui disait que la France, comparée à la Russie, était une maison de verre éclairée en permanence, alors qu'en Russie personne ne sait où il fout les pieds et c'est toujours la nuit.

Le tort de Gorbatchev a été de craquer une allumette dans la grotte. Ce n'est pas Poutine qui commettra une bêtise pareille.

Les gens qui aiment Gorbatchev me font penser aux gens qui prétendent que Kroutchev est un brave type qui a tenté une déstalinisation.

Ce n'est pas parce que Gorbatchev dénoncait les crimes du système qu'il n'était pas mouillé dans ce système jusqu'au cou. Au point de vouloir le sauver par n'importe quel moyen.

Parfois le remède est pire que le mal.

Le cauchemar des bloggeurs

Claude Levi-Strauss est mort. Il va encore falloir faire semblant d'être intelligent.

Alexandre Zinoviev a inventé le panslavisme scientifique.
« Lorsque Staline était encore en vie, je voyais ça autrement, mais maintenant que je peux survoler ce siècle, je dis : Staline a été la plus grande personnalité de notre siècle, le plus grand génie politique. Adopter une attitude scientifique à l'égard de quelqu'un est autre chose que manifester son attitude personnelle. » Interview Humo, 25 Février 1993
Pour ceux qui ne connaissent pas, Humo est un hebdomadaire flamand.
Les flamands sont très forts ; on peut leur dire n'importe quoi et ils comprennent. Un peu comme les Russes.

@Dumouch, c'est la fac qui vous a rendu aussi amer et agressif? Vous auriez du poursuivre dans le privé.
Et puis, il y a bien d'autre manières de montrer qu'on a "des couilles" que de voter communiste.
Par exemple, entreprendre des études de médecine à 45 ans, comme le fait l'une de mes connaissances (aux USA, en France, ce serait malheureusement impossible).
A propos, premier cour d'anatmie: voter communiste, ce n'est pas avoir des couilles, c'est manquer de cervelle.

J'assume sans complexe, à visage découvert, mon panslavisme intellectuel !

Dans une Europe gazée intellectuellement par la sous-culture marketing poubelle, où l'on est envahi d'ordure publicitaire, dans une société qui développe le culte du petit chef incompétent, du manager à la gomme, du DRH, dans un monde où l'on adule la "communication" et où l'on méprise les vraies compétences et les vrais producteurs (laitiers, pêcheurs, agriculteurs, médecins soumis à des managers d'hôpitaux ignares...), la Russie reste en effet un des derniers rempart, un asile contre la décérébration de l'Europe. Le niveau scolaire y reste élevé parce que là-bas on n'a pas appliqué de pédagogies débiles.

Quant à l'anatomie, il y a un mot pour qualifier l'envahissement de votre idéologie : lobotomie.

Selon Dodolphe Tumouch le billet de GS serait : « Une interprétation grossière et partisane des évènements. » (Pseudo Sourire)

Pour ce qui est de grossier, il faut croire Tumouch sur parole! Il est un expert, un collectionneur il les attrape au vol comme le papier qui colle et qui tue du même nom en véritable prédateur du capitalisme: ces chacals ces porcs!

Sept d’un coup comme le petit tailleur : ces pourris, merdes, crétins, chiens, ignobles, suppôt, gazé!

L’Europe gazée : quelle inspiration appropriée, la plus originale la mieux léchée. D’instinct Tumouch retrouve Dodolphe et ses références, que c’est beau que c’est dense.

Nous avons enfin trouvé notre libérateur de la langue, beaucoup de populo une pointe intello, il faut un peu de patience, il manque encore de références.

Il est vrai les tue-mouches ne font pas le détail, pas de quartier je colle au pilori à bras raccourci; quelle délectation ces marmelades de cadavres exquis !

Partisan des évènements
DT ne se déclare t-il pas d’un « panslavisme intellectuel » à toutes épreuves !

Panslavisme pourquoi pas, chacun peut revendiquer sa propre philosophie!
Intellectuel ? Pas ce flot de grossièretés délivré sans rigueur et sans saveur. Comment imaginer ne pas employer les mots : Cons & Salauds dans une telle conversation ? Dans sa tombe le professeur Choron doit se retourner d’indignation !

En vérité on reste sur sa faim, on en redemande du plus aigre et du plus fin ; de grâce Dodolphe encore quelques petites louches de votre élixir de jouvence !
Pour la route jusqu’à la transe !

PS : désolé, lire Rodolphe Dumouch et non Dodolphe Tumouch comme indiqué par erreur.

La chute du mur de Berlin: une horreur. La fin de la reconquista en Espagne en 1492 a marqué le début de l' extermination des Mongoloïdes d' Amérique.Idem, la fin de la guerre froide a permis aux USAS d' envahir l' Irak.Si l' URSS existait encore,les USAs n' auraient pas pu envahir ni l' Irak, ni l' Afghanistan.Si l' Iran tombe, toute l' Asie tombera.Les USAs veulent appliquer le livre de Joshué à l' échelle mondiale, et veulent exterminer ce qui reste de la race mongoloïde ainsi que les Moyen Orientaux à part Israël.Les USAs et Israël sont les 2 premières puissances militaires mondiales et ils ne vont pas se priver d' utiliser une partie de leurs armes.Je pense que Israël à elle seule a les moyens d' envahir toute l' Asie, de l' Egypte au Japon.

J'adore les jeux de mot sur mon nom, ça me rappelle ce qu'on me disait à la récré en CM2. Une vraie madeleine de Proust !

Pour le reste, oui je suis populiste (Народник), et alors ?

Dès que l'on n'est pas dans la pensée unique, dès que l'on est comtre l'interdiction du tabac, que l'on défend le pinard français, les grands esprits des salons parigos vous montrent du doigt "populiste, poujadiste, café du commerce, marxiste, fasciste".

Eh ben ouais : les catégories des faux intellos, je m'en balance.

@ Dumouch,

Une fois le communisme tombé,vous avez viré anticapitaliste,sans pour autant être un nostalgique de ce système.

Mais ce que les libéraux comme Sorman ou moi même voudrions savoir,c'est de nous dire quel modèle économique crédible pourrait remplacer le capitalisme.

Car c'est facile d'être contre et de prétendre que le capitalisme n'aura pas le dernier mot,mais il est plus difficile de trouver un bon remplaçant.

@ Guy Sorman,

Un peu surpris de votre part,de ne pas lire déjà un billet sur C.Levy Strauss.N'êtes vous pas un de ses disciples? Je crois que vous le connaissiez bien personnellement non?

D.J

Moi, les gens comme Dumouch, je les appellent les Intellectuels de salon. Ils savent lire mais pour réfléchir, ça vaut pas cher...
Ils sont coincés dans leur haine éternelle du succès, celle des autres surtout. Ils n'acceptent tout simplement pas la réalité, celle qui demande à tous et à chacun des efforts individuels pour produire des biens et réussir sa vie...

J'adore comment GM retourne mes propres propos, là encore on se croirait à la récré "C'est toi qui l'a dit donc c'est toi qui y est".

Il est sûr que ma réflexion n'est pas formatée à vos schèmes de pensée, mais de formation scientifique, les miens me semblent, ecusez mes chevilles qui enflent, un peu plus sûrs, un peu plus solides et un plus rigoureux. Un scientifique peut faire de l'économie, la réciproque n'est pas vraie.

Je ne sais si je suis un intellectuel de salon qui a peur de la vie et qui a la trouille de "produire", mais contrairement à Jacques Garello ou J. Marseille qui n'ont jamais été autre chose que fonctionnaires toute leur vie, je suis cofondateur d'une PME où j'ai risqué 21000 euros (faut pas compter sur vos copains banquiers pour prendre 1 euro de risque).

Pour ce qui est des alternatives crédibles au néolibéralisme, elles sont nombreuses : une économie fondée sur les PME et l'artisanat, les modèles corporatifs, les modèles coopératifs, les communautés rurales et les droits d'usages associés, les économies mixtes fondées sur un bon équilibre privé-public, la social démocratie, ou encore toutes sortes de composition et de nuances entre ces pôles.

Mais je suppose que les experts en "logique" vont m'expliquer que je ne sais pas réfléchir et qu'en dehors de Pinochet ou de la Corée du Nord, il n'y a ni alternative ni gradation. En logique, justement, on appelle ça un sophisme et plus précisément un faux dilemne. "Tu es contre nous donc vas rejoindre le pays de tes rêves à Pyonyang" : c'est tellement éculé et ridicule, mais je la sors avant que quelqu'un d'autre le fasse pour moi.

Dieu merci, dans notre société de merde on peut exprimer toutes ses opinions, seraient-elles les plus extrêmes, sans mettre sa vie en danger. Une grosse différence quand même par rapport à ce que nous avons connu avec le fascisme et le communisme. Ne serait-ce que pour cela, j'aime beaucoup cette société de merde...;-)

"Pour ce qui est des alternatives crédibles au néolibéralisme, elles sont nombreuses : une économie fondée sur les PME et l'artisanat, les modèles corporatifs, les modèles coopératifs"

Il est où le non liberalisme.Toute ces sociétés sont viables par le marché et la concurrence.Pas de clients = faillites.Peut importe le satut de l'entreprise.

La grande majorité des PME,le sont grâce aux prêts que les banques leurs octroient.

Et les partenariats public-privé existent déjà,notamment avec les universités et généralement avec des SA.Ce qui explique par exemple la première place des unis américaines dans le mondes.

D.J

C'est sûr, ici, c'est cause toujours au lieu de ferme ta gueule.

Quand le peuple vote mal, pas grave, on le fait revoter jusqu'à ce qu'il vote bien et là on déclare les résultats définitifs : cf la farce du Traité de Lisbonne.

A AJ : le non libéralisme, c'est une société dans laquelle on se donne le droit de réglementer la spaculation, de limiter la taille des grosses entreprises, de favoriser les petites par la fiscalité et la réglementation.

C'est aussi une société dans laquelle l'école et la santé sont publics (gros mot) et les agents de ces secteurs recrutés nationalement sur concours.

Ben oui, c'est cela aussi l'économie mixte. Et la renationalisation de l'eau, voilà aussi une idée non libérale à appliquer d'urgence, parce que la concurrence qui fait baisser les prix, c'est dans ce domaine encore moins crédible que le père-noël !!

DJ: Moi aussi j'attends un billet de Guy sur CLS et ce, avec une certaine impatience. Mais je ne savais pas que Guy le connaissait. S'il le connaissait bien et qu'il etait meme un "disciple" comme vous dites, peut-etre qu'il est un peu triste. Attendons un peu.

Quand a l'impetrant dumouch, ne perdez pas votre temps a lui repondre. La vulgarite et la stupidite de ses propos semblent etre abyssale. Ce blog est habitue a bien mieux.

Si vous croyez que l'eau est mieux nationalisé et que c'est un bien non marchand.

lisez ce lien sur mon blog.

http://leblogdjetliberte.blog.tdg.ch/archive/2009/11/03/il-est-idiot-de-dire-que-l-eau-n-a-pas-de-prix.html

"le non libéralisme, c'est une société dans laquelle on se donne le droit de réglementer la spaculation, de limiter la taille des grosses entreprises, de favoriser les petites par la fiscalité et la réglementation."

C'est surtout une société ou plus personne n'a envie d'investir et de creer sa boite.

D.J


D.J

"panslavisme intellectuel?" Vous aurez voulu dire "pavlovisme", bien entendu. C'est fou comme le cerveau est capable de rectifier des erreurs linguistiques en fonction du contexte!

Dollars,

Guy est à New york,il vient d'être interviewé en direct par le présentateur du JT de la télévision suisse romande sur les récentes élections aux USA et sur Obama

Je crois surtout qui l'a du boulot.

Je vais essayer de mettre en lien l'interview ( ça va pas plaire à ETF ).

D.J

Pour l'eau, la réalité c'est que certains pays, comme la Norvège ou les Emirats Arabes, l'avaient redu gratuite : le FMI, entité totalitaire supranationale, les a sommés de la rendre payante. On ne voit pas en quoi cela va résoudre le problème mondial de l'eau, qui est abondante dans certaines régions (donc pouvant être gratuite, Norvège) ou très rare dans d'autres (ce qui la rend vitale et rend souhaitable sa gratuité, Emirats).

Vous vivez sur des principes idéologiques fumeux et ne prenez pas en compte les spécifités géographiques et locales. En matière d'agriculture, imposer le système capitaliste européen là où la communauté rurale fonctionnait s'est avéré une catastrophe.

La société n'est pas un ensemble de relations abstraites et mercantiles, elle se développe sur un espace et constitue un espace, avec ses limites, ses discontinuités, ses anisotropies. L'économie est d'emblée a-spatiale donc donc non-réaliste, fumeuse, virtuelle, à part quelques modèles spatiaux (Loesch par exemple).

Pour le reste, je ne vois pas en quoi limiter l'installation et la taille des grosses entreprises empêchera X ou Y de créer sa boîte, bien au contraire ! démonstration fallacieuse, une fois de plus.

Non, non, panslavisme, j'ai bien dit.

Le conditionnement pavlovien est de toutes façons trop rudimentaire. Le lavage de cerveau utilise plutôt le conditionnement skinnérien, cher aux pédagogues anglo-saxons(Skinner conditionnait les rats en cage).

"En matière d'agriculture, imposer le système capitaliste européen là où la communauté rurale fonctionnait s'est avéré une catastrophe."

De quelle communauté rurale? Moi je sais surtout que les famines l'ont été où l'agriculture était nationalisée.

"Pour le reste, je ne vois pas en quoi limiter l'installation et la taille des grosses entreprises empêchera X ou Y de créer sa boîte, bien au contraire ! démonstration fallacieuse, une fois de plus."

Faut encore savoir sur quel critère se baser pour savoir si une entreprise est trop grosse ou non.

Bien des petites PME dépendent des grosses boites pour la sous-traîtance.Difficile de vouloir réglementer la taille des entreprises dans ce cas là par exemple.

D.J

Claude Lévi Strauss était mon maître ; l'émotion m'interdit de l'évoquer d'emblée. On me le demande mais j'attends un peu.

C'est par exemple le cas du bocage Bamileke au Cameroun, où l'on a tenté non pas de dénationaliser mais d'individualiser de force des communautés rurales.

Vous êtes encore dans le faux dilemne : nationalisation versus propriété privée. Tout au long de l'histoire de nombreuses nations, ce n'est ni l'Etat ni le propriétaire individuel mais la communauté villageaoise qui a été l'unité structurante en agriculture.

Un scientifique peut faire de l'économie, la réciproque n'est pas vraie ; un historien-géographe peut aussi faire de l'économie et là encore la réciproque n'est pas vraie.

Guy Sorman interviewé par Daruis Rochebin télévision suisse romande.

http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500000&channel=info#program=15;vid=11451100

D.J

Cher GS, je fais abstraction de vos aberrations habituelles sur Obama (encore aujourd'hui chez les Suisses - pas le temps d'en faire le détail), pour vous faire part de toutes mes condoléances.

ETF: je viens d'ecouter l'interview de Guy (merci DJ pour le lien) et vraiment, je ne vois pas de quoi vous pouvez parler, en etant serieux, quand vous evoquez les "elucubrations" de notre hote sur Obama... J'ai meme ecoute 2 fois, pour etre sur...

Je viens d'acheter "chroniques de la mondialisation" sur Amazon.fr avec livraison sur NY ou je reside... Frais de port eleves et ca va mettre une bonne semaine (merci la Poste francaise), mais je n'ai pas resiste...

Ceux qui prétendent, comme notre tôlier, qu'Obama a éé essentiellement élu "contre Bush" sont tellement à côté de la plaque et aveuglés par l'idéologie qu'on a pas envie d'aller plus loin. Ils prennent, au passage, les américains pour des cons. Dire que Clinton tenait bien sa majorité (à l'inverse d'Obama) est une contre-vérité. Exemple:
"The North American Free Trade Agreement Bill passed the house with 234 votes against 200 opposed (132 Republicans and 102 Democrats voting in favor, 156 Democrats, 43 Republicans, and 1 independent against)."
Bien entendu, après avoir échouer à réformer le système de santé, Bill a ensuite perdu le congrès à la première occasion et a gouverné ensuite avec les républicains. Belle tenue de ses troupes en effet!
Il est bien trop tôt pour juger Obama et son bilan. Compte tenu de la M... noire dans laquelle se trouvait l'amérique quand il a été élu, un peu plus de circonspection s'impose. Les choses pourraient être bien pires, et une situation aussi calamiteuse ne se redresse pas en trois coups de cuiller à pot.
Enfin, vouloir faire passer Obama pour un gentil naïf est borderline débile. C'est surtout méconnaître Chicago, le monde politique américain, et surtout, ce qu'il faut de détermination, de réalisme et de force de caractère pour effectuer un parcours tel que celui d'Obama, en battant au passage, l'une des plus formidable machines politique de l'histoire: Clinton Inc.
Bref, ce commentaire, venant en plus de quelqu'un qui s'extasia devant l'écervelée Palinette, est aussi décevant qu'attendu.
J'en reste là, car aujourd'hui est jour de deuil.

Plus intéressant, et peut-être plus consensuel, Lévi Strauss sur l'identité nationale (j'ai déjà dit plus haut tout le mal que je pense de cette nouvelle Sarkonnerie). Dommage qu'il ne puisse plus s'exprimer sur la question. Mais l'aurait-on écouté?
"En 2005, Claude Lévi-Strauss prononçait un discours mettant en garde contre les dérives de politiques étatiques se fondant sur des principes d'identité nationale. "J'ai connu une époque où l'identité nationale était le seul principe concevable des relations entre les Etats. On sait quels désastres en résultèrent", disait-il.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/11/04/quand-levi-strauss-denoncait-l-utilisation-politique-de-l-identite-nationale_1262849_3224.html

Sincères condoléances pour la disparition de quelqu'un qui n'a pas vécu en vain et dont nous sommes nombreux à "porter le deuil" en quelque sorte. Être proche de quelqu'un comme lui, une expérience unique, sans doute.

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