Parution le 15 mars 2012
Paru le 2 novembre 2009
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L'Europe a ses problèmes, les Etats-Unis ont les leurs. Tout autant de dettes, avec 46 états au bord de la faillite, y compris la Californie, malgré sa Silicon Valley et son PIB plus important que celui de la Russie.
Et une jeunesse qui se pose des questions.Socialisme et capitalisme sont maintenant à égalité dans leur esprit, avec 43% de partisans pour chacun...
Les Etas-Unis vont-ils se réveiller de leur sieste capitaliste?
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=3055
Rédigé par : El oso | 26 juin 2010 à 17:07
http://www.youtube.com/watch?v=DMKb9A6Kouk
Rédigé par : Blanc Cassis | 27 juin 2010 à 05:54
http://www.alterinfo.net/Economie-comment-la-Chine-voit-l-Europe-et-la-France_a47276.html
Cette video est un fake.Par contre, j' imagine bien Guy Sorman intervenir aux USAs dans une video et expliquer que l' Europe va dans le mur à cause du système social et vanter le système US.
Rédigé par : Kim Jong Ilien | 27 juin 2010 à 13:46
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=3003
"Diviser et opposer pour imposer
« Un gouvernement peut difficilement [ajuster] contre la volonté de l’opinion publique dans son ensemble. Il doit se ménager le soutien d’une partie de l’opinion, au besoin en pénalisant davantage certains groupes. En ce sens, un programme qui toucherait de façon égale tous les groupes (c’est-à-dire qui serait neutre du point de vue social) serait plus difficile à appliquer qu’un programme discriminatoire, faisant supporter l’ajustement à certains groupes et épargnant les autres pour qu’ils soutiennent le gouvernement. » (p. 17). Comme « la plupart des réformes frappent certains groupes tout en bénéficiant à d’autres, [...] un gouvernement peut toujours s’appuyer sur la coalition des groupes gagnants contre les perdants » (p. 18). Il faut donc diviser et opposer pour imposer.
Un régime « dictatorial » serait idéal pour imposer les réformes
« Une comparaison pour les pays d’Amérique latine entre des régimes démocratiques comme la Colombie, l’Équateur, le Pérou, et des régimes militaires, comme l’Argentine et le Chili, en 1981-82, montre que les troubles sont plus rares lorsque le régime est militaire [...] La comparaison entre les deux expériences de l’Argentine sous un régime militaire (en 1981) et en démocratie (1987) est parlante : le niveau de protestation a été trois fois plus élevé en 1987 et il y a eu beaucoup plus de manifestations » (p. 12). Ainsi, un régime dur serait idéal pour imposer les réformes. Le néolibéralisme serait-il entrain de déraper ?"
Rédigé par : Kim Jong Ilien | 27 juin 2010 à 14:44
Dommage que la leçon de libéralisme chinois ne passe pas sur CCTV
Rédigé par : Guy Sorman | 27 juin 2010 à 22:47
A tire d’ailes
Le regard de l’oiseau est une planète,
À l’aube austère, d’efforts parfumés,
Aussi vieille que ma peau qui s’élève,
À l’aurore éphémère, de génie allumé.
Il faut des plumes pour faire du velours
Et des printemps sucré pour la faire piaffer
Lever le matin fourbe, ma belle détourne,
Une plume à l’azur de fée s’est envolée.
Les amoureux clignent de leurs paupières,
En bénissant ce jour, d’un tendre baiser,
Coule sur leurs lèvres une guirlande secrète,
Et tendrement serrés, inclinent leur fierté.
Marie-Lise Ehret
15 juin 2010
* Le libéralisme chinois n'est pas le même ni en russie ni en France, ni en amérique
http://psychanalysepoesiepeintureart.hautetfort.com/archive/2008/09/23/psychanalyse-marie-lise-ehret-poesie.html
Quand la science et les sciences vont plus vite que l'évolution de l'homme....ça fait crach....
Rédigé par : Marie-Lise Ehret | 27 juin 2010 à 23:51
Et puis ceux qui désirent qu'on leur fiche la paix
Qui ont une hitoire aussi comme l'afrique
Ils évoluent avec leur propre temps à eux
A chacun son tour dans les civilisations, une dégringole et une autre prend la relève
Un jour viendra où eux aussi auront leur temps.
L'économie chinoise voyez est un peu plus intelligente elle prend le bon chez le voisin et garde sa culture hein
on peut faire le tour de l'Amérique, enfin les états unis d'amérique hein, c'est que des changement de nom comme brugon et nectarine.
si il faut en passer par leur guerre nord sud eh beh on a pas fini de pleurer !
Rédigé par : Marie-Lise Ehret | 30 juin 2010 à 10:53
On ne peut comparer des économies différentes
et encore moins celle européenne
ni avec les pays d'amérique latine
ni avec les pays de norvège et suéde..déjà là ...il y a plus de respect de l'homme à la valeur travail.
on ne peut dissocier l'économie, du temps politique et sociale avec son histoire.
Une poule
Une poule qui picote
Dans du pain trempé dans du vin
Picoti, picotin, picoti, picotin !
Chauve-souris
Repasse par ici
Je te donnerai du pain moisi
Dans une poêle trouée
Picotia picoté, picota, picoté !
Escargot
Montre-moi tes cornes
Je te dirai
Où ta mère est morte
Elle est morte à Paris
Sur la queue d’une souris
Picotin, picoti, picota, pocoti !
Pinpin vole
Si tu ne t’envoles pas
Midi sonné
Je te tuerai
Picoti, picota, picota, picota
Primevère
Dans les bois
Le loup est arrivé
Nous sommes sauvés
Picota picoté, picota, picoté !
Marie-Lise EHRET
14 juin 2010
on ne peut dissocier des cultures différente en y superposant la notre.
• Voici pourquoi je me méfie de Jung
• vous n’êtes pas sans savoir que l’inconscient collectif promulgué à Buenos Aires
Par Jung sont : la femme rat, la femme oiseau et la femme vampire :
Alfred Varias en est témoin aujourd'hui
Basée sur Eva Péronne à qui on l’a attribuée
atteinte d’un cancer
Interprétant des périodes pour elle de sa vie
basée sur 6 années en période ascendante
Et descendante lui attribuant la fuite à travers la mort
Symb de la bête noire
Avec comme attribution de collectif le dessin animé,
« Tatouage » aux champs Élysée
De notre inconscient collectif
• Est-ce bénéfique pour eux d’intervenir sur leur imaginaire collectif ?
Et encore moins quand nos dirigeants empiète et touche à des lois représentant le peuple.
Atypique et travail
Excessif, bouillant et sanguin,
Parfois contr/o/versé,
Personnalité atypique
Plus à l’aise dans l’action
Que dans les discours zélés.
A et a normal entendez !
Travail Atypique
Déposé au début février
Ce rapport soumet, en 807 pages,
Pas une de plus pas une de moins
53 recommandations pour « améliorer »
la protection sociale des travailleurs atypiques.
A et a normal entendez !
Le régime actuel de protection
Est conçu pour le salariat « classique »,
Une protection adéquate de la main-d’œuvre atypique
Nécessitera un effort législatif important.
A et a normal entendez !
Mais alors, pourquoi en créer autant ?
Les individus auraient moins besoin
De protection ? De lois aussi !
Ah ! Les hommes de lois !
Rebelle, contestataire,
Dissident, mal pensant,
Iconoclaste, bête et méchant,
Par analogie briseur.
Par antonyme réparateur ou restaurateur,
Je vais allez faire un tour à la plage de Paris
Histoire de me restaurer, marcher et rêver,
Aux tropiques peut-être, comme deux parallèles
Qui se rejoignent entre soleil et zénith
Dommage que le soleil n’est pas au rendez-vous.
Tant pis je prendrai le parapluie.
...........
* j'ai fait un texte là dessus
je ne le retrouve pas mais je vous l'enverrai
travail manuel et travail intellectuel, mais où j'ai fourré
ça ?
http://www.choisir-son-psy.com/fiche.php?id=51351#fiche
LA MALADIE DU POUVOIR
Pour Tous analysé et analysant
Féminité et masculinité
Le syndrome d’hubris
La maladie du pouvoir
Avant propos :
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l’emporte-pièce, obsession de sa propre image, et, abus de pouvoir : tels sont quelques-uns des symptômes d’une maladie mentale récemment répertoriée qui se développerait durant l’exercice du pouvoir, ceci est le syndrome d’hubris. Malgré la très longue histoire qui unit la politique la société aux êtres humains, particuliers et communs, et les innombrables leçons si durement apprises, la vérité est que nous en savons encore bien peu sur ce type de danger. Les Grecs l’avaient bien compris, et chez eux l’hubis n’était que le présage d’un redoutable retour de bâton, la Némésis.
Hubris ou nouvelle maladie ?
Surtout, ne vous méconnaissez pas vous-même en croyant que votre être à quelque chose de plus élevé que celui des autres, car tous les emportements, toute la violence, et toute la vanité des Grands, vient de ce qu’ils ne connaissent point ce qu’ils sont. Le pouvoir exerce une fascination indéniable, autant sur ceux qui le subissent que sur ceux qui l’exercent. Assurément, l’exercice du pouvoir n’est pas une activité comme une autre et n’échoit pas au premier venu, mais les Grands se souviennent-ils suffisamment de leur condition de simple mortel ? Du point de vue de pensée, l’hubris se caractérise par un refus de s’encombrer de nuances, et d’envisager les conséquences de ses actes et de ses décisions. Ce manque d’attention et ce désintérêt pour les détails, associé à une agitation permanente, est assez proches de l’hyperactivité ou de certaines perturbations du lobe frontale.Le sujet en vient à simplifier à l’extrême, voir à caricaturer, des situations complexes.De même in ne ressent pas la nécessité d’écouter, il s’enorgueillit même de ne jamais prendre conseil, ne cache pas son mépris pour l’opinion d’autrui et ignore les leçons de l’histoire. Pour lui toute forme de consultation est considérée comme un aveu de faiblesse. Les connaissances restent le plus souvent superficielles, ce type de personne apprécie les résumés, les synthèses, mais pas les dossiers encombrés de nuance et de mises en perspective. Il est imbu de lui-même à l’extrême, il est obsédé par l’apparence, aime se montrer et contrôler son image, cherche à donner l’illusion qu’il agit sans se préoccuper d’être réellement utile. Tout cela mène assez naturellement à ce que l’on appelle l’« incompétence » c'est-à-dire l’accumulation de décisions hasardeuses, voire catastrophiques.
Anéantir ses adversaires, aussi éculées et transparentes soient-elles. Interruptions, mauvaise foi, plaisanteries, prises à partie, question rhétorique. Son attitude, verbale est elle-même révélatrice : par ex : il utilise fréquemment des exemples personnels, il lui arrive d’être violent et démagogique, il n’écoute guère ses interlocuteurs, il joue la carte de la simplicité plutôt que celle de la nuance.Phrases courtes, syntaxe approximative, vocabulaire limité, e n’hésite pas à sous-estimer les capacités intellectuelles de ses interlocuteurs.
Son thème est la fermeté et de l’obstination, il n’hésite pas donner des leçons et à faire son propre éloge. Il utilise systématiquement des questions « Je devrais rester les bras croisés ? » « Pourquoi dans ce pays, on ne parvient pas à… ? » Il utilise également, quels que soient ses interlocuteurs, un discours pédagogique, et une gestuelle exagérée. Dans le même ordre d’idée, il aime produire une illusion d’efficacité en mettant ses adversaires en demeure de dire ce qu’il aimerait leur faire dire, en les sommant de trouver, sur le cham, une approche meilleure que la sienne, qu’il ne manque pas ensuite de mettre en pièces. Mais c’est une tactique utilisée par bien des personnes.
Ne serait-elles pas intoxiquées par un étrange par un « agent » pathogène le pouvoir - les conduisant à manifester un comportement narcissique pathologique. Ceci n’est pas nouveau et ne concerne pas que les dirigeants, on se souvient du livre de Pierre Accoce et Pierre Rentchnick, paru en 78 « Ces Malades qui nous gouvernent ». Nos jugements ne doivent-ils pas se fonder sur un sens du jugement solide et réaliste, et de valeur humaine, ceci n’est rien que ma pensée je l’assume !et n’emploie jamais ni sur internet un pseudo hors mon nom)
Hubris ou syndrome de la démesure ?
Le concept d’hubris est tiré non seulement de la philosophie grecque on le retrouve chez Platon et Aristote — , mais également du théâtre, où il permet de raconter de grandes épopées, où le succès monte à la tête du héros, qui prétend se hisser au rang des dieux ou demi-dieux, il est alors impitoyablement remis à sa place par Némésis, la déesse de la vengeance. L’hybris grec renvoie à la démesure et à ses conséquences funestes. Malheureusement, il n’existe pas en français d’équivalent satisfaisant au mot anglais hubris. Une approximation serait « orgueil démesuré » mais le mot anglais associe narcissisme, arrogance, prétention, égotisme, voire manipulation, mensonge et mépris. Le terme revoie également à un sentiment d’invulnérabilité, d’invincibilité et de toute-puissance, en y associant un certain pathétique. Comme le narcissisme, l’hubris désigne aussi un manque d’intérêt pour tout ce qui ne concerne pas le sujet personnellement, une absence générale de curiosité. La caractéristique principale de l’hubris est qu’il est visible de tous, sauf du principal intéressé et de ses fidèles. Adapté à la politique, ou le pouvoir sur un humain particulier, , on voit immédiatement se profiler quelques candidats dans leur comportement physique ou langage d’orateur parlé. Le mensonge, mais c’est aussi un mondain qui raffole des bruits de couloirs, ou d’images caricaturales.
Quelques critères ?
Parmi ces signes citons : une inclination narcissique à voir le monde prioritairement comme une arène où exercer son pouvoir et rechercher la gloire, un souci disproportionné pour l’image et l’apparence, une confiance excessive pour les critiques et les conseils d’autrui. Le déclencheur de cette maladie serait l’exercice même du pouvoir, généralement précédé d’un grand succès, et suivi d’une ascension irrésistible et populaire, qui s’accompagne d’une absence inhabituelle de contraintes, aboutissant à une centralisation des pouvoirs ou de groupes de pouvoirs. En d’autres termes il commence à prendre certaines libertés qu’il justifie généralement comme étant sa signature particulière qu’il qualifie volontiers de « rupture » ou de « réforme », alors son empire sil le leader est réélu, car il se sent alors conforté dans son action. Et même si la guerre constitue un contexte idéal pour la manifestation du trouble. L’exercice du pouvoir peut déclencher de graves troubles du comportement et perturber la capacité à prendre des décisions rationnelles. Il semble que le succès initial monte à la tête de l’élu, et qu’il soit associé à des actes de bravoure ou à des prises de risque considérable. Dès lors, s’installe un sentiment d’invulnérabilité et d’infaillibilité. La situation se dégrade quand le leader se met à saper l’autorité ‘institutions normalement autonomes, afin d’exercer un contrôle plus direct et plus étendu. Cette attitude le conduit souvent à démoraliser son entourage, ou à monter ses proches les uns contre les autres. Le leader hubristique écarte ceux qui l’ont déçu ou qui lui semblent menaçants, la peur et la paranoïa règnent vite au sein du groupe. De tel surestiment grossièrement leurs compétences tout en sous-estimant les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Ils pensent généralement savoir ce qui est bon pour tout le monde, indépendamment des circonstances. Il persiste dans des choix critiquables, n’écoute pas son entourage et encore moins ses opposants, et refuse tout contradiction ou compromis.
Qui gardera les gardiens ?
Le syndrome d’hubris ne s’acquiert, qu’au contact du pouvoir ne serions-nous pas, un peu naïf ? Car dans nos propres corporations cela n’est pas un hasard, ni pour les dirigeants de tout poils.Si c’est seulement le pouvoir d’autres particuliers du commun peut aussi avoir ce syndrome dans la vie quotidienne pour mieux régner. Si c’est le pouvoir d’un individu sur l’autre, ou des dirigeants, cela laisse entrevoir une épidémie silencieuse touchant les chefs de rayon, commissaires de police, videurs de boîte de nuit, contrôleurs de train et à peu près n’importe quel individu investi d’une autorité quelconque, aussi dérisoire et limitée soit-elle. Même des allocutions pour les « vœux aux acteurs de la culture»
Où se situe la spécificité des chefs d’État ?
Où se situe un individu qui aurait emprise, de par sa profession, sur un ou un autre ?
D’autant plus qu’il ne faut pas sous-estimer les dangers d’une approche médicalisée du pouvoir, n’oublions pas que certains régimes tyranniques ont abusé de la psychiatrie pour discréditer leurs opposants.Et même si l’on admet l’existence d’une telle entité, n’est-ce pas simplement un signe des temps ? L’intelligence humaine est avant tout le produit des émotions, et ce serait une très grave erreur de centrer les enseignements sur les seules disciplines cérébrales en marginalisant celles qui font appel à l’intelligence des émotions et à l’intelligence du corps. On sait bien sûr qu’Alain Minc, proche conseiller de certain est un éminent spécialiste du philosophe néerlandais, mais tout neuroscientifque perçoit immédiatement qu’il s’agit d’une référence aux travaux du chercheur et écrivain Damasio.n’est-on pas en droit de se demander les implications des coachs des propos de ceux si ne serait-ce que dans leur fonction professionnelle ?
La personnalité acquise qui est problématique d’un point de vue médical. Généralement, les troubles de la personnalité sont perçus comme des traits de tempérament relativement stables dès la fin de l’adolescence, et non pas déclenchés par des facteurs extérieurs précis. Considérer les troubles de la personnalité dans un contexte unique – ici à l’activité professionnelle — n’est pas habituel non plus. Mais la principale critique, c’est qu’il est toujours délicat, et souvent abusif, de vouloir à tout prix médicaliser certains comportements, aussi extraordinaires soient-ils. S’il est vrai que le syndrome d’hubris peut avoir des conséquences fâcheuses sur les dirigeants, n’en va-t-il pas de même de l’amour chez les étudiants ou du trac chez les artistes ? Ces états ne sont pourtant pas (encore) considérés comme des maladies mentales !
Mais, peut-on diagnostiquer, on ne peut ignorer l’importance des facteurs historiques et culturels ? Les leaders sont les fils de leur temps. On peut déplorer que l’époque actuelle soit placée sous le signe de la jouissance, du culte du succès, de la performance et de la jeunesse, du refus des contraintes, etc. Mais peut-être que le syndrome d’hubris est avant tout associé au stress inhérent à la fonction de chef d’État, ou à des facteurs qui ne soient en rien génétiques ou bien le contraire ce qui expliquerait pourquoi certains individus se sentent poussés vers les plus hautes fonctions.Et quand bien même, si je suis idiote, j’ai au moins le méérite de rappeler que le problème se pose. L’histoire l’a montré à de nombreuses reprises, la personnalité et la santé des dirigeants ont souvent été associées à des décisions, catastrophiques. Il y a longtemps, le poète romain Juvenal demandait :
Qui gardera les gardiens. Toute démocratie doit se munir des moyens de prévenir les gouvernants de faire preuve d’hubris. Des méthodes simples et raisonnables de contrer l’émergence du syndrome d’hubris existent probablement.La première serait de démystifier complètement la notion de secret médical pour les chefs d’État. Les enjeux sont trop importants pour que des observations cliniques pertinentes soient tenues secrètes. Par ailleurs, séparer les pouvoirs s’impose depuis Montesquieu comme un rempart contre les excès de l’égo des dirigeants, ou ayant responsabilité d’autres humains même nous psychanalystes et psychologues. Un autre facteur, aussi primordial dans le contrôle, il s’agit du pouvoir qu’à chaque membre d’un gouvernement de démissionner spontanément pour dénoncer les propensions hubristiques des dirigeants tels qu’ils soient. Ce serait là le meilleur moyen d’alerter l’opinion publique et de créer un électrochoc au sein d’un gouvernement. Hélas, si ce genre de décision courageuse est très rare, c’est que les meneurs savent rendre dépendants leurs subordonnés. Il est cependant bien normal de se poser ces questions ? Non ? Si ! Pour y rechercher un antidote.
Les critères du syndrome d’hubris
1-Inclination narcissique à voir le monde comme arène où exercer son pouvoir et rechercher la gloire
2-Prédisposition à engager des actions susceptibles de présenter l’individu sous un jour favorable, c'est-à-dire pour embellir son image
3-Attrait démesuré pour l’image et l’apparence
4-Façon messianique d’évoquer les affaires courantes et tendance à l’exaltation
5-Identification avec la nation ou l’organisation, au point que l’individu pense que son point de vue et ses intérêts sont identiques, à ceux de la nation ou de l’organisation.
6-Tendance à parler de soi à la troisième personne ou à utiliser le « nous» royal.
7-Confiance excessive en son propre jugement et mépris pour les critiques et les conseils d’autrui.
8-Impression d’omnipotence sur ce que l’individu est personnellement capable d’accomplir.
9- Croyance qu’au lieu d’être responsable devant ses collègues ou l’opinion publique, le seul tribunal auquel il devra répondre sera celui de l’histoire.
10 -Croyance inébranlable que le jugement de ce tribunal lui sera favorable
11- Perte de contact avec la réalité, souvent associée à un isolement progressif.
12- Agitation, imprudence et impulsivité.
13-Tendance à accorder de l’importance à leur « vision », à leur choix, ce qui leur évite de prendre en considération les aspects pratiques ou d’évaluer les coûts et les conséquences
14-Incompétence hubristique, lorsque les choses tournent mal parce qu’une confiance en soi excessive a conduit le* leader, j’entends par les grands comme les petits, à négliger les rouages habituels de la politique, du droit, et du mépris de l’humaine condition.
Marie-Lise Ehret
Psychanalyste
14 juin 2010
............
Que dire de Jean Fourastier économiste vers 74 qui décrivait cette situation actuel ou un être travaillera pour trois ?
Ils en étaient où les autres pays là ? et nous dont !
Psychanalyse art et politique moyen de médiatisations
Valeur humaine serait l’habit
La pensée serait marchande
La toile serait l’habit
Le corps serait l’écran du rêve
Le langage serait objets médiatiques
La pensée serait conceptuelle
Le stress serait marchandise
L’art serait marchand
La valeur humaine abstraction
La réflexion ne serait que reflet
La pensée philosophique apparait en Grèce antique d’abord avec les premiers philosophes ioniens de la nature, encore à moitié mythologisants, puis, aux environs de 500 av J. c. avec les premiers peseurs strictement conceptuels que sont Pythagore, Héraclite et Parménide. On peut donc, considérer l’émergence du raisonnement philosophique entendue au sens d’Engels
La civilisation est le stade e développement de la société où la division du travail, l’échange qui en englobe ces deux fait parviennent à leur plein déploiement et bouleversement de toute la société antérieure. À tous les stades antérieurs de la société, la production était essentiellement une production commune et en tant que la production est établie sur cette base, son contrôle ne peut échapper aux producteurs comme c’est le cas, régulièrement et inéluctablement dans la civilisation. Mais peu à peu, la production marchande devient la forme dominante.
J’entends, cela ne regarge que moi je me laisse le droit de « remettre cela en question » parce que je cherche quelque chose…donc ouvert….C'est-à-dire qu’elle devient non seulement la forme du commerce extérieur, entre les différentes communautés et les différents États, comme c’était le cas aux stades antérieurs, mais également la forme des rapports sociaux de production à l’intérieur. J’ajouterai même que la première frappe de monnaie (environ 700 av . J.c. en Ionie) survient lors de ce tournant décisif où la production marchande pénètre la structure interne de la société pour devenir la forme économique universelle dominante.
1 la monnaie métallique capital-argent et l’intérêt de l’usure
2 des marchands en tant que classe médiatrice entre les producteurs
3 de la propriété foncière privée et de l’hypothèque
4 du travail et des esclaves comme forme dominante de la production
Qu’appelle-t-on ces choses mystérieuses qu’on appelle marchandises. Une marchandise est un objet matériel, mais il ne devient marchandise que par la vertu de ses rapports sociaux avec d’autres marchandises. Son existence en tant que telle est une réalité purement abstraite. C’et en même temps le critère de la civilisation…donc, ce qui domine la pensée « civilisée » des origines à nos jours et que l’on pourrait appeler fétichisme de la marchandise, « la conscience fausse » engendrée par les rapports sociaux de la production marchande. Au début de la philosophie grecque, je vois cette conscience fausse se former peu à peu et imposer au monde ses catégories qui viennent de la production marchande, comme si ces catégories appartenaient à la nature et non à la société.
**Ceci semble poser toutefois un problème non négligeable !
Ex. : deux conceptions matérialistes apparemment contradictoires, une dérivation, des catégories fondamentales de la pensée à partir de la production.
Mais s’accorde-t-elle avec la théorie de la connaissance admise par le matérialisme dialectique ? Les catégories en question ne deviendraient-elles pas des concepts tels que « substance et être », « grandeur e qualité », espace et temps abstraits mouvement pur ou uniforme…etc..C’est à dire un genre de concept et des principes, mais où prend-elle ces principes ? Les pensées pures, se limiterai à des schémas logiques ? Or il ne s’agit ici que des formes de l’être, du monde extérieur ! Et la pensée ne peut jamais tirer et dériver vers ces formes d’elle-même, mais précisément du monde extérieur seul ?
-Mais ainsi, le rapport tout entier s’inverse ; les principes ne sont pas le point de départ de la recherche, mais son résultat final ! Ils ne sont pas appliqués à la nature et à l’histoire des hommes, mais abstraits de celles-ci ? Ce ne sont pas la nature et l’empire de l’homme qui se conforment aux principes, mais les principes ne sont exacts que dans la mesure où ils sont conformes à la nature et à l’Histoire !
C’est là une porte ouverte part Lénine, et bien d’autres !
…à suivre : objectivité/infériorité subjectivité/extériorité ?
Marie-Lise Ehret
24 juin 2010
Ecrit par : Marie-Lise EHRET | 24.06.2010
Et si l'on regarde bien Marx insite beaucoup sur la nature abstraite de la marchandise et parle "d'abstraction de valeur"et d'"abstraction-marchandise", ce que ces expressions signifient, c'est l'abstraction de la valeur d'usage des marchandises qui a lieu dans l'échange
Ce qui revient à dire que leurs propriété naturelles n'entrent pas en ligne de compte que dans la mesure où elles sont utilisables donc des valeurs d'usage marchandises !
Entendement pur, de type épistémiologique, seule la qualité de valeur d'usage des choses comporte leur différenciation en fonction du temps et de l'espace, si bien que les formes résiduelles nées de l'abstraction revêtent nécessairement un caractère d'universalité intemporelle.
Lui conçoit, l'abstraction de la valeur d'usage comme une conséquence objective ? purement factuelle et aveugle de l'échange ? bien loin de nous considérer comme acteurs !
Subjectivité : et un postulat d'équivalence.
Postulat qui constitue une valeur de toute l'économie.
Et développe ainsi une théorie subjective de la valeur, la théorie d'utilité marginale, dont l'aspect le plus marquant est la négation du postulat d'équivalence
Le choix ne suppose t-il pas, la différence et non pas l'équivalence des valeurs ?
Peut-elle encore être traitée comme une vérité axiomatique ?
Le postulat d'équivalence doit être fonde, alors sur sa validité
et doit être démontré
Je peux me tromper...mais sauf erreur...cela confirmera pas seulement l'analyse marxienne de la marchandise, celle -ci connaitra alors un élargissement qui comprend également l'inclusion de la problématique de la connaissance dans l'analyse de la marchandise et de l'économie ?
Economie subjective contre valeur marchande de la pensée
l'art n'est plus acte d'usage et acte d'échange par les théoriciens subjectivistes ! Il apparait que c'est moins une tautologie.
La problèmatique est déplacée des choses aux actions accomplies sur les même choses et donc à la pratique. Il apparaît ainsi que outre le caractère objectivement différent des deux types d'actes, le fait qu'ils s'excluent l'un l'autre antithétiquement dans l'espace et dans le temps revêt une grande importance non ?
L'acte d'usage et l'acte d'échange ne sont pas seulemetn métériellement différents, ils sont aussi , de par leur ssence, séparés l'un de l'autre dans le temps. Ce fait contient le fondement de l'abstracité propre au procès d'échange. Le procès est abstrait parce que manière générale, il ne peut avoir lieu que dans l'abstraction effective des actes d'usage. Le rapport d'exclusin antithétique spatiotemporelle entre usage et échange en tant qu'actions revêt pour mon questionnement, pour moi aussi en tant que psychanalyste, une importance particulière et doit être compris avec exactitude en sa nature.
Sur quoi la séparation temporelle se fonde t-elle, de quel type est sa nécessité ?
La raison en est que les actes d'échange ne servent qu'à un type de changement, à savoir un changement de possession, un changement concernant exclusivement le statut social des marchandises en tant que propriété.
Et qui sont établies socialement d'après des règles !
La valeur d'échange peut-elle alors entre matériel et naturel ne
subit -t-elle pas d'altération, a un rapport resté en suspend ...je ne sais pas encore je réfléchie !
Il ne s'agit pas là , hélas, d'une abstracion dans la pensée
mais dans la réalité, dans la pratique spatio-temporelle de l'échange et du commerce marchand entre contractant.
Je parlerai de l'art qui se retrouve en terminatif des maux psychiatriques ! Ne demande t-il pas une autre proposition formelle !
d'ailleurs je n'ai pas fini si l'on considère l'origine de l'économie....
Rédigé par : Marie-Lise Ehret | 30 juin 2010 à 11:30
Et puis alors
Hein aucun philosophe à l'horizon
je ne sais pas pour Ardono et De la Champagne...je me laisse ici le droit de me contredire..c'est normal ...vous en pensez quoi vous?
rien à l'horizon c'est bien dommage !
Même la phisique stagne
Et l'on revient sur les maths
Et l'on réapprend à nos enfants
à ne plus apprendre en visionnant des mots (absurdité de qui ?)
............
je ne retrouve plus mon texte sur le coatching et l'économie...je vous mettrai cela une autre fois !
Pourquoi les trois grands marchés financiers sont
les banques
les médicaments
Et internet
plus un qui me plait beaucoup moins la psychologie orientatrice à la crèche et aux écoles hein ?
Nous n'avons jamais entendu et lu autant de bétise en psychologie !
Rédigé par : Marie-Lise Ehret | 30 juin 2010 à 11:39
Et pourquoi nous parle t-on des
catastrophes du monde entier ?
Alors que nous ne savons plus d'où viennent les informations, alors que l'on devrait entendre,
en français et pas en allemant ni en anglais...où on va français dans l'europe....on ne connait plus que des sigles...mais la réalité ? où est elle ?
On finance de grosses entreprises qui utilise à leur profit pour bien grandir et ferment les portes au mépris de la valeur humaine de travail.
Le stress...il faut que je retrouve ce texte le coatching n'est que la fabrication d'une deuxième personnalité, mais ce n'est pas anodin....il y a un but derrière....suicide, travail, psychologue de travail ????hein
on fait travailler plus longtemps les gens qui ont commencé à 15 ou 13 ans et les jeunes n'ont pas la réalité du terrain ils n'ont que
les livres et ça c'est pas l'expérience de la vie de travail
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Le Nouveau Management Public
Est-il néfaste à la santé mentale ?
Que vient faire « Rhizome » et le « magasine pluriels » psychiatriques avec l’Art et les chemins de réhabilitation psychosociale ? Comme si l’art n’était que souffrance ou réparation de maladies psychiques.
Comme si tout malaise de la civilisation, toute rébellion sociale devaient se terminer par l’Art ?
L’orientation de Rhizome s’est formulée au cours de son élaboration.Elle portait au départ sur la question des conditions, préalables pour des pratiques acceptables en santé mentale, ce qui supposait que certaine soient inacceptables. Cemins faisant, la question du Nouveau Management Public (NMP) s’est imposée.
Le NMP a émergé il y a trente ans, avec l’objectif de faire passer les administrations publiques au management, donnant sur managers l’autonomie pour accomplir efficacement les actes qui incombent à leurs organisations, avec l’idée du meilleur rapport qualité-prix. L’objectif d’augmenter la puissance d’agir des usagers, comme des professionnels faisaient partie des effets attendus.
Mais certains effets inattendus se sont manifestés progressivement.
En ce qui concerne les usagers, le consumérisme et la judiciarisation sont devenus les corrélats obligés de l’insistance accordée aux actes oà réaliser, ave cependant l’émergence positive du contre-pouvoir des associations d’usagers et des nouvelles pratiques de pair aidant, qu’il faut prendre en compte en santé mentale comme ailleurs.
Quant aux professionnels, ils ont eu de plus en plus l’impression de devenir de simples exécutants, sommés d’accomplir ce qui leur est imposé de l’extérieur, dans l’urgence, leur donnant l’impression d’être en réalité « désoeuvrés » par rapport aux valeurs portées par les métiers, surtout quand ceux-ci concernent les relations interhumaines.
Certes, tout travail est effectue en vue d’une « production » qui dépasse celui qui la produit. C’est le côté impersonnel et utile du travail. Prodiguer des soins, faire un dossier, c’est ce pour quoi les praticiens sont payés. Mais cette impersonnalité n’est efficace que si elle s’accompagne des niveaux subjectifs que lui donnent vie et valeur.
À savoir :
*un niveau directement personnel, « la réalisation de l’ouvrier », de celui qui produit une « œuvre » selon les normes du métier ; il se fait en faisant.
*Le niveau interpersonnel, qui engage une intersubjectivité, permettant le circuit du don et du contre-don, grâce à quoi le professionnel n’est pas un mercenaire ni un tâcheron.
*Le niveau transpersonnel enfin, collectif ou plutôt institutionnel et interinstitutionnel, support des valeurs du métier, et , en l’occurrence , des valeurs du service public, à ne pas confondre avec « les services rendus aux publics »
Or le contexte actuel présente une double tendance : une redéfinition de la notion même de service public, d’une part, et une orientation inquiétante vers l’écrasement des niveaux subjectifs par l’impersonnel, d’autre par. Du point de vue de la santé mentale, ceci modifie directement le cadre interne des praticiens, avec deux options :
• Un malaise professionnel, qui signe la volonté de continuer de porter les niveaux personnels dans leur nécessaire intrication à l’impersonnel de la tâche ; cette position , inconfortable, permet une saine et difficile conflictualité ; mais à l’extrême, elle produit aussi la banalisation des pathologies au travail, dont la médiatisation autour de France Télécom nous donne une image tragique
• Ou l’abdication de cette conflictualité pour devenir des exécutants sans affect ni pensée propre, sans marge de manœuvre, sans capacité d’improvisation, sans interstices permettant de lier le personnel et l’impersonnel. Alors, le travail perd tout autre intérêt que celui de gagner sa vie.
• Comment canaliser une énergie réformatrice de grande ampleur, qui passe par la loi et qui charrie, comme je le souligne, une haine des institutions et des corps constitués ? Comment faire barrage à un impersonnel massif qui oublie la question de l’inestimable en pratiques de soin et de prendre soi ?
Marie-Lise Ehret
Quelle subjectivité pour nos enfants de demain ?
Puis alors nos dirigeants qui eux aussi on besoin d'être coatchingué ils vont finir par avoir tous, les mêmes comportements ?
Allez
c'est pas mon boulot
l'économie
je vous fait
Un clin d'oeil sourire
L’art Conseputuel
À force de déconstruction
Déconstruction de déconstruction
De ce siècle dernier.
L’art devient effectivement
Un tableau trempé dans la peinture
Rouge qui se vend des millions.
Un tas de rames de papier blanc
Qui n’a ni queue ni tête.
Art actuel rue du Chef de la Ville.
Un art qui ne sait plus parler
Avec des couleurs et des mots
Un art dénué de sens et de sentiment.
Un art conceptuel poussé à l’extrême
Où tout est dénué de sens et de sentiments
Photo d’une chaussure dans l’escalier,
Une culotte pendue avec des pinces à linge
Une poubelle, Rue Louise Weiss.
Un art ou l’homme est objet
Et est vide de sens.
À force de déconstruction
De ce siècle dernier.
Un art moderne qui est mort de sens
De confusions conceptuelles
Pris empiriquement.
À force de déconstruction
De ce siècle dernier.
L’art vise si bien l’analyse,
Conceptuelle et normative,
Unité normative des notions,
Principes des institutions
Qui encadre le fonctionnement
Des communautés politiques.
Simplement.
Où l’homme est pris pour
Ce vide même et c’est bien
Représenté dans cette société moderne
Le vide même de l’homme.
Un art qui ne représente plus
Ni singularité ni l’individu,
Ni affectif, ni voix, ni sens.
À force de déconstruction
De ce siècle dernier.
Certains artistes déconstruisent
Et détruisent leur art même.
L'économie deconstruction c'est quoi construire des batiments qu'on ne fini pas ?
Lion
Pour la chasse aux lions :
Achez un tamis puis
Vous allez dans le désert.
Ensuite, vous passez tout
Le désert au tamis
Quand le sable est passé,
Il reste les lions !
14 juin 2010
Marie-Lise Ehret
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Rédigé par : Marie-Lise Ehret | 30 juin 2010 à 11:53