Après la chute du Mur de Berlin, on s'en souvient, l'économiste américain Francis Fukuyama avait saisi l'air du temps en annonçant la Fin de l'Histoire. Sa thèse, souvent mal interprétée, n'excluait pas les conflits locaux ni les soubresauts dans la démocratie ; mais il envisageait qu'au-delà de la chute du communisme, ne subsisterait plus qu'un seul modèle de référence, la démocratie libérale telle que définie par l'Occident. Toutes les nations, expliquait Fukuyama, auraient la démocratie libérale pour objectif sans que toutes nécessairement y parviennent. Sa Fin de l'Histoire signifiait donc la fin de la concurrence entre les idéologies dès l'instant où il n'en restait plus qu'une vivante. Mais, avec une prudence justifiée, il n'excluait pas que le jeu des passions humaines, dans un avenir lointain, conduirait à l'émergence de quelque nouvelle idéologie alternative à la démocratie libérale : cette alternative n'ayant pas encore été inventée, ne pouvait pas avoir de nom et la perspective lui paraissait lointaine.
De fait, après 1989, on a vu, dans les civilisations les plus diverses, progresser l'idée de démocratie libérale, transformant la forme des gouvernements et les modes de gestion de l'économie : le capitalisme d'Etat partout reculait, en Amérique Latine, en Afrique, en Inde, au bénéfice d'un capitalisme de marché que l'on pourrait appeler démo-capitalisme par opposition au capitalisme d'Etat ou ordo-capitalisme. La Chine, mais presque seule, résiste à cet appel à la démocratie libérale et au démo-capitalisme : mais, dans cette Chine, l'on voit tout de même monter en puissance une société civile pour qui la démocratie d'essence occidentale incarne la Fin de l'Histoire. Les mondes arabes hésitent entre leur tradition autoritaire et autarcique et la tentation démocratique et démo-capitaliste.
Hélas, c'est de l'intérieur même du monde occidental, en son berceau même, que l'on voit surgir non pas l'idéologie alternative inconnue qu'envisageait mélancoliquement Fukuyama, mais le retour à des modes de pensée très anciens : le nationalisme agressif, la xénophobie, l'autarcie économique, le despotisme plus ou moins éclairé. On regroupera toutes ces tendances réactionnaires sous le terme de "tentation autoritaire". La tentation autoritaire affecte l'Etat démocratique, la construction européenne, la mondialisation comme civilisation et le démo-capitalisme. Cette tentation autoritaire, par sa nature même, épouse des formes nationales, infranationales, voire ethnotribales : elle affecte différemment les nations d'Europe en raison de leur histoire même. Si l'Allemagne aujourd'hui est la nation la moins affectée par la tentation autoritaire, c'est que son passé national-socialiste l'a immunisée. C'est, par conséquent, en Allemagne que le capitalisme est le plus démocratique, l'Etat central le plus modeste et les partis politiques les moins extrêmes. Les nostalgiques du nazisme sont groupusculaires et Verts et Rouges qui incarnaient, dans les années 1970, 1980, une alternative autoritaire, se sont fondus dans la démocratie dominante. Quand les Allemands manifestent quelque nationalisme, c'est pour sauvegarder leur épargne et ne pas casser leur tirelire au bénéfice des Grecs et des Portugais dispendieux.
Dans les deux autres nations d'Europe, fortement imprégnées de leur passé fasciste, l'Espagne et l'Italie, la tentation autoritaire ne se manifeste qu'à la périphérie, au Pays basque, voire en Lombardie italienne où un certain ethnisme conteste l'appartenance à la nation mère. Cet ethnisme est moins une réaction hostile à la démocratie libérale qu'un ultime avatar des aspirations nationalistes telles qu'elles sont apparues au dix-neuvième siècle, ère des nationalismes revus et corrigés par la littérature romantique.
Il n'en va pas ainsi dans les nations européennes où le fascisme fut imposé de l'extérieur, tels la France, la Hongrie, la Belgique, les Pays-Bas. Dans ces pays occupés par l'Allemagne nazie, il s'était trouvé des collaborateurs séduits par l'idéologie nazie ou par les promesses territoriales allemandes, par exemple aux Hongrois (contre les Roumains), aux Finnois (contre les Russes), aux Belges flamands (contre les Belges français). Mais, dans aucune de ces nations, il ne susbiste le sentiment d'un péché originel ou le souvenir d'une guerre civile aussi atroce qu'en Espagne, pour prohiber, aujourd'hui, la tentation autoritaire.
C'est en France que cette résurgence idéologique est la plus prégnante parce qu'y convergent tous les facteurs nécessaires au rejet de la démocratie libérale, de la mondialisation et du démo-capitalisme. Dans la tentation autoritaire en France telle que l'incarnent le Front National et le quart des électeurs français qui le soutiennent, la nostalgie est déterminante : nostalgie d'un temps où la France fut le centre d'un Empire, territorial et culturel. L'histoire de France telle qu'elle est enseignée aux enfants des écoles, entretient cette rumination d'un passé grandiloquent : loin d'exalter une France co-fondatrice d'un nouvel ordre européen, pacifique et prospère, les écoliers retiennent des images stéréotypées de gloire napoléonienne et "mission civilisatrice" de la France en Afrique noire. Par suite, le discours nationaliste paraît légitime. Il est renforcé par ce qui est ressenti comme une perte des valeurs nationales : celles-ci sont vécues comme diluées dans l'anomie européenne, l'américanisation culturelle, et l'immigration.
Cette immigration africaine, le plus souvent arabo-musulmane, partout en Europe suscite des réactions xénophobes. Mais cette xénophobie que l'on serait tenté de qualifier de banale, ne se métamorphose en France dans un parti vaste et structuré qu'en raison de l'arrière-plan historique qui le légitime. En Allemagne, ou en Suède, ou en Grande-Bretagne, une immigration nombreuse, turque, marocaine, indienne provoque aussi des attitudes xénophobes : mais cette xénophobie, dans ces pays-là, n'est pas devenue comme en France (et à un degré moindre en Belgique, en Finlande et aux Pays-Bas) le socle d'un parti autoritaire. Avant de revenir sur ces pays de l'Europe du Nord, restons un instant encore sur le cas français, car s'y ajoute un ultime facteur qui tient à la nature du capitalisme français. Celui-ci est dominé par un petit nombre de très grandes entreprises qui, historiquement, pour la plupart d'entre elles, doivent leur fortune à leur relation intime avec l'Etat et souvent, sont dirigées par d'anciens grands serviteurs de l'Etat. Le capitalisme français, par sa concentration et sa complicité avec la politique, se situe à l'opposé du capitalisme allemand ou italien, l'un et l'autre décentralisés et forts de leurs petites et moyennes entreprises. Il est donc plus aisé en France qu'il ne le serait en Allemagne ou en Italie, pour le Front National de s'opposer au capitalisme des gros et des mondialistes et de proposer en alternative un ordo-capitalisme : cet ordo-capitalisme, autoritaire et autarcique, s'ancrerait de surcroît dans un passé lointain et mythique, celui du Colbertisme. On ajoutera ici, un passant, que la "tentation autoritaire" n'est forte et structurée que si elle s'articule autour de la personnalité d'un chef charismatique : cela va de soi puisque l'autoritarisme exprime un désir de chef, alors que la démocratie libérale s'en défie. Sans la dynastie Le Pen, du père viril à sa fille dominatrice en France, sans Viktor Orban en Hongrie, sans Geert Wilders aux Pays-Bas (Parti pour la liberté), Umberto Bossi, fondateur de la Ligue du Nord en Italie, Tino Sorin, fondateur du Parti des Vrais Finlandais, la tentation autoritaire ne parviendrait pas à cristalliser. L'autoritarisme exige donc un chef mais aussi une histoire qui lui confère une légitimité et enfin des circonstances porteuses, comme une immigration mal vécue et une crise économique mal gérée. La réunion de tous ces éléments est indispensable : un seul ne suffit pas à poser une alternative idéologique à la démocratie libérale.
Trop souvent, c'est à l'économie seule que l'on réduit l'émergence du refus de la démocratie libérale. Cette interprétation marxisante ne convainc pas : la tentation autoritaire est favorisée par l'anxiété économique mais elle en est aussi autonome. Il en va de même pour l'immigration qui favorise les ultra nationalistes, comme l'hiver favorise la grippe : le virus est latent, mais n'est pas une création de l'hiver. Le parti néerlandais Pour la liberté, fondé par Geert Wilders, ne peut s'expliquer seulement par l'immigration, s'il n'existait, en permanence, aux Pays-Bas, un fond xénophobe. Ce qui peut surprendre tant on identifie les Néerlandais à la tolérance : mais l'histoire complexe des Pays-Bas est entrelacée de guerres de religions. Sans que l'on comprenne pourquoi, c'est aux Pays-Bas, occupés par les Nazis, que la proportion de juifs déportés fut la plus importante en Europe. C'est aussi dans une période de prospérité économique que le populisme nationaliste de droite se porte bien aux Pays-Bas, pas dans des circonstances où les immigrants viendraient dérober leurs emplois aux citoyens de souche. Sans doute pourrait-on appliquer une grille de lecture voisine à la Finlande, à la Hongrie, aux Flamands de Belgique : toutes nations où les mouvements anti-démocratiques et anti-libéraux progressent. Ces peuples n'ont conquis leur indépendance que récemment. La Belgique fut créée il y a deux siècles, mais les Flamands jusqu'aux années 1970 s'y trouvaient, une minorité économiquement et culturellement colonisée par les Belges français. L'autonomie véritable des Flamands n'a pas quarante ans et on voudrait, au nom de l'Europe ou de la liberté des peuples de circuler, porter atteinte à leur fierté nationale tout fraîche ? De cette histoire est né le Parti Vlaams Belang Les Finlandais ne se sentent libres que depuis 1989, au terme de leurs luttes contre la Suède et la Russie. Mais, au nom de l'Europe et du nouvel ordre démo-capitaliste, on s'attaquerait à leur homogénéité nationale si chèrement acquise, à leur prospérité toute récente ? Il leur faudrait redistribuer (aux Grecs, aux Espagnols) avant même qu'ils n'aient joui de leur nouvelle richesse ? La crise européenne, depuis 2008, n'a pas allumé le feu qui couvait dans ces nations mais, évidemment, il l'alimente.
Au sein des mouvements autoritaristes, cette crise n'est pas interprétée comme un accident de parcours dont le capitalisme libéral est coutumier, mais comme une défaillance du système capitaliste tout entier. Il existe une convergence dans l'analyse entre les archéo-marxistes et les ordo-capitalistes. Le Front National par exemple ou le parti de Viktor Orban, en Hongrie, n'envisagent pas de supprimer le capitalisme mais de le nationaliser, de remplacer le démo-capitalisme - vécu comme américain et mondialiste - par un ordo-capitaliste, de modèle colbertiste, voire chinois. De manière caricaturale, les partisans de ce nouveau despotisme éclairé opposent à un "consensus de Washington", que la crise financière aurait rendu caduc, un "consensus de Pékin" où l'Etat central serait garant de la croissance. Cette opposition mythologique ne tient évidemment aucun compte des différences de civilisation et des niveaux de développement.
Malencontreusement, à l'appui de ce regain du despotisme éclairé, il se trouve qu'en Grèce et en Italie, la classe politique a abdiqué ses responsabilités : après avoir mal géré l'Etat et l'économie nationale, cette classe politique élue - la représentation démocratique donc - a abandonné le pouvoir à des technocrates non élus. Quelle aubaine pour les partisans français, hongrois, belges, néerlandais, finnois, du despotisme éclairé ! Puisque même les Italiens et les Grecs reconnaissent l'incapacité des institutions démocratiques à résoudre ce qui n'est qu'une banale crise de la dette publique, n'est-ce pas le principe même de la démocratie représentative qu'il conviendrait de remettre en cause ?
Cette contestation "populiste" de la démocratie libérale, terme dont on se méfie puisqu'il relève de l'insulte plus que de l'analyse, n'est pas le privilège de la seule extrême-droite nationaliste ou ethnique. Rappelons que le refus de la démocratie et du capitalisme s'enracine à l'extrême-gauche autant qu'à l'extrême-droite et que la démocratie libérale ne s'est imposée en Europe qu'après 1989, qu'au terme d'un long combat contre l'URSS à l'extérieur et les partis communistes à l'intérieur. Ceux-ci se seraient-ils volatilisés ? L'hostilité gauchiste au démo-capitalisme s'est métamorphosée en d'autres utopies qui, sous des atours modernistes, recyclent les antiennes marxistes : de la crise finale du capitalisme, les militants sont passés à la crise finale des ressources naturelles. Dans l'écologisme profond, on décèle les mêmes aspirations théologiques que dans le marxisme, le même désir d'utopie et le même désir d'autorité qui, faute d'arracher l'humanité aux griffes des bourgeois, sauveraient la Sainte Nature de l'oppression industrielle. Les techniques de mobilisation des écologistes profonds, leurs manifestations violentes les situent dans le camp du populisme anti-démocratique ; il en va de même pour les mouvements altermondialistes hostiles au démo-capitalisme et parfois violents (cas de José Bové en France détruisant les champs de maïs OGM, ou "démontant" les restaurants McDonald's), considérant sans doute que l'avenir des arbres devrait l'emporter sur le bonheur des hommes.
Devrait-on classer dans la même catégorie des adversaires de la démocratie libérale, les Indignados d'Espagne ? Contrairement à l'image que souvent l'on en a, ces Indignados ne participent pas d'un mouvement étudiant, type 1968 à Paris, mais regroupent une population d'âge moyen, marginalisée, un mélange de Lumpen Intelligentsia et de chômeurs de longue durée. Par leur existence même, les Indignados révèlent une certaine incapacité des sociétés post-industrielles à intégrer ceux qui ne partagent pas les codes sociaux et culturels, exigés par des économies complexes. On observera aussi que la cible directe des Indignados espagnols est la démocratie en tant que telle : les institutions démocratiques et les partis politiques espagnols leur paraissent inaptes à répondre à leurs exigences - des exigences qui ne sont pas toujours claires. Le "Système", expression des Indignados, devrait être remplacé par une utopie alternative dont les discussions interminables de la Puerta del Sol constituent une esquisse post-démocratique.
La démocratie libérale est donc assiégée en Europe par un populisme de gauche qui s'additionne aux populismes de droite. Ces attaques convergentes contre le démo-capitalisme révèlent combien la démocratie et l'économie de marché souffrent en permanence d'un manque de solide légitimité intellectuelle : on pourrait aller jusqu'à dire que la démocratie libérale n'est tolérée par les peuples qu'en raison de son efficacité mais pas en raison de sa vertu intrinsèque. Le fait que la démocratie libérale ait remplacé la guerre civile et guerres de religions qui étaient la norme antérieure, le fait que l'Union européenne ait mis un terme à mille ans de conflits territoriaux, le fait que le démo-capitalisme ait apporté à l'Europe une prospérité matérielle et une espérance de vie (qui continue à croître) sans précédent et même inconcevables il y a cinquante ans encore (souvenons-nous de la pauvreté de l'Espagne, du Sud de l'Italie ou de l'Irlande vers 1950), tout cela est comme balayé dès l'instant où le taux de croissance, devenu la mesure de toute chose, s'étiole et passe provisoirement de 3% à 0% l'an. À qui, à quoi attribuer une aussi faible légitimité de la démocratie libérale pour qu'une simple crise conjoncturelle conduise certains à la remettre si fondamentalement en cause ? Sans doute, le désespoir que suscite une stagnation économique fait-il perdre aux plus jeunes tout sens commun, habitués comme ils le furent à grandir dans des sociétés en paix et toujours prospères. Sans doute, la gestion des Etats par une classe politique uniformément médiocre fait-elle douter non pas de cette classe politique mais du "système" qui leur a conféré une autorité au-dessus de sa capacité. Mais n'est-ce pas la vertu de la démocratie que de confier du pouvoir à des médiocres à la seule condition que cet exercice du pouvoir reste limité dans le temps ? Sans doute et enfin, la défense et l'illustration intellectuelle de la démocratie libérale laissent-elles à désirer : il nous manque des Karl Popper, des Friedrich Hayek, des Raymond Aron, des Milton Friedman, des Octavio Paz pour affirmer la supériorité spirituelle autant qu'opérationnelle du démo-capitalisme. Cette génération-là, parce qu'elle avait connu le despotisme, le totalitarisme, exprimait une connaissance intériorisée autant qu'une fougue polémique au service de la démocratie libérale qui n'était pas, qui n'est pas seulement instrumentale, mais spirituelle et humaniste. De même que la création de l'Union européenne au lendemain de la Seconde Guerre mondiale fut un acte spirituel et humaniste. Au lieu de cette défense-là, on entend brailler des populistes en phase avec les médias contemporains, avides de sensations fortes plus que de raisonnements subtils, plus en quête d'apocalypses que de progressisme. En temps de "crise" aussi, outre les populistes ethniques et révolutionnaires, on s'inquiétera de l'espace médiatico-politique conquis par les "idiots utiles". Pour mémoire, rappelons que l'expression revient à Lénine qui qualifiait ainsi les alliés "objectifs" du bolchévisme, entrepreneurs capitalistes prêts à vendre la corde pour les pendre et intellectuels ébahis par les merveilles du soviétisme. Ces idiots utiles sont de retour, perpétuellement en quête de paradis exotiques : aujourd'hui la Chine. Le mythe de l'Empereur philosophe nous vient de Chine, par des narrations jésuites que Voltaire et Leibniz métamorphosèrent en théorie du despotisme éclairé. La Chine réelle n'a jamais eu rien à voir avec cette Chine rêvée, et les dirigeants chinois, à présent comme jadis, exploitent leur peuple plus qu'ils ne l'éclairent. Mais peu importe le réel : ce à quoi la démocratie libérale et le démo-capitalisme sont incessamment confrontés relève rarement de la réalité. La démocratie libérale et le démo-capitalisme sont réels, donc ils ne font pas rêver. Les populismes sont mythiques, donc ils suscitent des passions : la tentation autoritaire est d'autant plus menaçante qu'elle est irréelle. La démocratie libérale est d'autant plus fragile et mérite d'être illustrée, qu'elle est vraie. Il serait opportun que cette vérité de la démocratie libérale soit au plus vite inscrite dans une Constitution fédérale européenne.
( Pour Belas Lettras , Mexico)
Les valeurs concurrentes des droits de l' homme sont celle de l' Islam. Autant, on débat comment appliquer la démocratie libérale en Europe, dans le monde islamique , on débat sur l' application de la Sharia en Islam. Il peut y avoir un zeste de démocratie avec des éléctions, mais en fin de compte , on fait la plupart du temps confiance au vote islamique type salafiste ou frères musulmans. La population musulmane dans le monde actuel 1.6 milliard vaut celle de l' Occident mais en 2050, 1/3 de la population mondiale sera musulmane: http://www.freeworldacademy.com/globalleader/population.htm Le débat sur l' application de la loi islamique déterminera l' avenir mondial. L' Islam doit devenir la religion de l' europe mais aussi de l' Asie. C' est un signe de la fin des temps, le retour de l' Imam caché, l' Islam comme religion mondiale, que tous se proterne devant Allah !
Rédigé par : Islamo Confucianiste | 05 mars 2012 à 01:00
Je vois que ce taré de Kim yung IL sévit encore. Mais je me demande pourquoi il a changé de nom d'Avatar quelques semaine avant la mort de son idole. Une prémonition?
Rédigé par : G.M. | 05 mars 2012 à 02:53
Il valait mieux changer d' avatar, un Sud Coréen a inculpé sur twitter pour avoir avouer son admiration pour le cher leader: http://www.podcastjournal.net/Un-militant-inculpe-a-la-suite-d-un-tweet-sur-Kim-Jong-il_a10820.html Le communisme a aussi échoué car ce n' était pas une religion. L' Islam par contre est invincible. Roger Garaudy s' est converti à l' Islam après avoir été stalinien. http://rogergaraudy.blogspot.com
http://www.fichier-pdf.fr/2011/04/12/roger-garaudy-les-mythes-fondateurs-de-la-politique-israelienne/
http://www.fichier-pdf.fr/2011/04/12/roger-garaudy-le-proces-du-sionisme/
http://ia600301.us.archive.org/28/items/LaControverseDeSion/REEDfrsion.pdf
Rédigé par : Islamo Confucianiste | 05 mars 2012 à 03:04
Votre argumentation est sidérante.
Vous oubliez que le traité constitutionnel a été refusé par référendum dans deux pays européens en 2005 et quand "imposé" par la suite.
Vous oubliez que l'Euro a probablement abouti à des enrichissements "sans causes" par le gonflement du prix de l'immobilier.
Vous oubliez de parler du MES (Mécanisme Européen de Stabilité) dont le vote en catimini n'honore pas la classe politique française (et européenne).
Vous oubliez de préciser que les conséquences de l'Euro sont une explosion de la dette publique en France favorisé par l'illusion de la convergence des risques monétaires qui maintenant apparaît pour ce qu'elle est c'est à dire un mensonge. Alors qu'avec le Franc, les marchés nous auraient "sanctionnés" plus tôt (il y a 10 ou 15 ans), ce qui aurait obligé les politiques à dire la vérité sur l'anti-modèle français.
Vous oubliez de dire que la rigueur va peser sur la majorité qui ne possède ni fortune, ni biens immobiliers (sans oublier que les primo-accédant qui ont acheté leur logement depuis 2004 sont endettés sur parfois 30 ans, ce qui fait exploser le coût de leur crédit).
Vous oubliez de dire que la classe politique a été plus que médiocre (plutôt malhonnête) puisqu'elle a choisi de préserver sa clientèle (les classes aisées à droite, les fonctionnaires et assimilés à gauche) au mépris de la majorité de la population qui travaille dans les PME (plus de 90 % des entreprises en France).
Vous oubliez de parler des ratés du système éducatif archaïque français qui pour ne pas bousculer la place des Grandes Ecoles produits des exclus au lieur de créer un système plus efficace et plus motivant (apprentissage à l'allemande et formation tout au long de la vie comme au Canada).
Vous oubliez de parler des retraites promises mais dont le financement est à trouver du fait de l'absence de fonds de pensions en France, dans un contexte de départ massifs à la retraite dans la décennie 2010 2020, avec dans le futur un actif pour un retraité (comment pourra-t-on payer la retraite de ce dernier ?).
Vous oubliez de dire que même en faisant des réformes cela prendra une génération (au moins) pour que la France sorte de cette ornière.
Vous oubliez de dire que pendant ce temps la croissance de l'économie sera faible et l'emploi rare (surtout pour les moins diplômés dont la situation en France est nettement moins favorables que dans d'autres pays européens ou d'Amérique du Nord), que le logement restera cher (du fait de l'absence d'un réel marché du logement probablement pour les fortunes immobilières perdurent au mépris du bien-être de la population), que les conditions d'arrivées faites aux immigrés sont beaucoup plus difficiles ce qui alimente les tensions et la xénophobie.
Vous oubliez de dire qu'à la base de tout cela il y a une génération (celle des baby-boomers soixante-huitard) qui n'a pas voulu voir la réalité en face dans les années 80 et pour ce faire avait choisi Mitterrand pour avoir la retraite à 60 ans, puis les socialistes en 1997 pour avoir les 35 heures et ainsi pouvoir "souffler" arrivés à la cinquantaine en attendant la retraite dix ans plus tard.
Et pour finir, vous oubliez de dire (en ce qui concerne la France) que la meilleure chose à faire pour un jeune français diplômés (ingénieur ou chercheur par exemple) c'est de quitter son pays pour aller vivre dans les pays ou les perspectives économiques et professionnelles sont meilleures car les politiques suivis sont plus justes car réellement libérales (ou en tout cas beaucoup plus).
Evoquer le concept de démocratie libérale en France est une blague (voir à cet effet le rapport Perruchot sur le financement de l’organisation syndicale salariale et patronale) : la réalité c'est que dans ce domaine tout reste à faire, et de fait cette ambiguïté rejaillie sur l'Union Européenne puisque c'est cette génération qui l'a construite.
Rédigé par : Jean | 05 mars 2012 à 09:17
Je ne vois pas en quoi votre analyse, Jean, infirme celle de G. Sorman (elle va au contraire dans son sens).
Reste qu'affirmer que les non ou anti-libéraux sont nécessairement des populistes, des fascistes ou des partisans d'un régime autoritaire est un raccourci facile.
Affirmer que les écologiqtes sont des fascistes verts plus préoccupés par la défence de Gaïa que des hommes, c'est pour le moins simpliste (G. Sorman se garde bien d'une critique serrée des prévisions pourtant inquiétantes pour ne pas dire catastrophiques de la plupart des scientifiques sérieux sur la crise écologique).
Entre "l'ordo-capitalisme" et le "démo-capitalisme", G. Sorman ignore qu'il y a toute une gamme de systèmes intermédiaires, en particulier la social-démocratie, le social-libéralisme ou les systèmes inpirées de la démocratie chrétienne.
Ce refus des nuances condamne par avance tout débat.
Celui-ci est cependant nécessaire : libéralisme décompléxé, à la sauce Hayek ? ou Friedman ? Libéralisme à fort contenu solidariste ? Retour à une forme de planification et de régulation étatique ?
Est-il illégitime de se poser ces questions ?
Rédigé par : Emmanuel | 05 mars 2012 à 10:04
Le Titanic « ZONE EURO » est en train de couler.
Sauve-qui-peut !
C’est chacun pour soi !
Chacun cherche à sauver sa peau, maintenant !
C’est chacun pour sa peau !
Vendredi 2 mars 2012 :
L’Espagne revoit son déficit à la hausse, crise en vue avec l’Union Européenne.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a averti vendredi que l’Espagne ne pourrait pas respecter ses engagements de réduction du déficit public, au risque de provoquer une crise avec ses partenaires européens à l’issue d’un sommet européen marqué par la signature d’un Pacte de discipline budgétaire.
« L’objectif de déficit public sera pour cette année de 5,8 % du Produit intérieur brut », a-t-il annoncé au cours de sa conférence de presse, prenant tout le monde de cours. Or l’objectif imposé était de 4,4 % pour 2012.
« C’est un très mauvais signal au moment où l’Europe s’engage à plus de discipline budgétaire », a confié à l’AFP le représentant d’un des 27 Etats de l’UE. « Il revient à la Commission européenne de réagir », a-t-il ajouté.
Mariano Rajoy n’a informé personne de son intention de briser le Pacte de discipline budgétaire quelques heures seulement après l’avoir signé avec 24 de ses homologues.
« Je n’ai pas informé les présidents et les chefs de gouvernement parce que je n’ai pas à le faire. Il s’agit d’une décision souveraine que nous Espagnols, nous prenons », a-t-il soutenu au cours de sa conférence de presse.
http://www.boursorama.com/actualites/l-espagne-revoit-son-deficit-a-la-hausse-crise-en-vue-avec-l-ue-3cd6f31c81e0e3f2f1ff8133f2da76ee
Rédigé par : BA | 05 mars 2012 à 11:26
La "légitimité" va sans dire et, contrairement au lieu commun, ne va pas mieux quand elle est l'objet du bavardage proliférant qui nous persécute...elle exige pour se maintenir, voire se refonder, de grandes tueries et de forts impôts...pour le professeur Chaunu la guerre de 14-18 fut la grande ordalie qui légitima la IIIème République - c'est également l'opinion de Fabrice Bouthillon - la Vème, me semble-t-il, se fonda sur le déni de justice fait aux pieds noirs, plébiscité par 80% des français...il ne lui reste plus que l'extermination fiscale de ses régnicoles...
:-)
Rédigé par : GAUTHIER | 05 mars 2012 à 11:34
En fait, Emmanuel, ce que je voulais surtout souligner, c'est que dans la zone euro la charrue a été mise avant les bœufs.
En effet, au lieu de rapprocher les économies des différents pays sur un modèle libéral (à définir en fonction des critères que vous indiquez), on a préféré les regrouper dans un même "véhicule" monétaire qui a exacerbé les difficultés des pays les plus éloigné d'un fonctionnement libéral "optimal" c'est-à-dire ceux dont les économies n’était pas de réelles économies de marché (En France marché du logement et part du secteur public dans l’économie par exemple) avec flexibilité de l’emploi et efficacité du système de formation.
Ce qui est, en réalité, un processus assez brutal notamment vis à des personnes qui n'ont les compétences permettant une mobilité professionnelle en Europe (la mobilité permettant d’échapper au chômage de masse comme en Espagne).
Par ailleurs, on ne parle jamais du problème linguistique en Europe, comment avoir une vraie mobilité du travail avec 27 langues différentes ?
Cette brutalité est bien décrite par Emmanuel Todd (notamment dans une conférence donnée à Nantes au mois de décembre et visible sur Youtube), même si les solutions qu’il propose (abandon de la dette) sont mauvaises, on ne peut qu’être d’accord avec la description du processus brutal qu’a été l’Euro qui met en confrontation les pays et les peuples.
Rédigé par : Jean | 05 mars 2012 à 11:52
" Affirmer que les écologiqtes sont des fascistes verts plus préoccupés par la défence de Gaïa que des hommes, c'est pour le moins simpliste (G. Sorman se garde bien d'une critique serrée des prévisions pourtant inquiétantes pour ne pas dire catastrophiques de la plupart des scientifiques sérieux sur la crise écologique). "
Mais les réponses suicidaires pour sauver la planète des fascistes verts tel José bové n'ont plus rien a voir avec la préoccupation des scientifiques sérieux.
" Reste qu'affirmer que les non ou anti-libéraux sont nécessairement des populistes, des fascistes ou des partisans d'un régime autoritaire est un raccourci facile. "
Un autre raccourcis facile; est de prétendre que les xénophobe et islamophobes populistes sont automatiquement de l'extrême droite. Tel Geert Wilder taxé sans cesse par les médias d'extrémiste de droite. Alors qu'il est d'essence libéral économiquement et socialement. Alors que l'extrême droite est par définition anti-capitaliste-libéral.
D.J
Rédigé par : D.J | 05 mars 2012 à 12:11
"processus brutal qu’a été l’Euro qui met en confrontation les pays et les peuples."
Sortir de l'euro est-il réaliste ?
Cela augmenterait de 30 % de coût de la dette car la monnaie française serait dévaluée mais la dette serait payable en euro.
Il n'y a donc pas d'autres choix qu'aller au bout du processus d'intégration : mécanismes automatiques de sanction pour les états mauvais gestionnaires, règle d'or, mais aussi mutualisation des moyens pour aider les pays en difficulté.
Comme en France la péréquation fait que Neuilly paie pour Saint-Denis.
Rédigé par : Emmanuel | 05 mars 2012 à 12:45
Le dérapage annoncé en fin de semaine dernière par le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy concernant le déficit budgétaire du pays en 2012 est "grave", a estimé lundi un porte-parole de la Commission européenne.
Le dérapage est "sérieux, grave", a souligné ce porte-parole, Amadeu Altafaj, ajoutant toutefois que la Commission européenne ne proposerait aucune mesure avant d'avoir effectué "une évaluation complète" de la situation des finances publiques espagnoles.
Selon une source proche du dossier, la Commission européenne, mécontente notamment de la manière dont ce dérapage a été annoncé, pencherait à ce stade pour infliger des sanctions à Madrid.
Vendredi 2 mars, M. Rajoy n'a en effet informé personne de son intention de briser le Pacte de discipline budgétaire quelques heures seulement après l'avoir signé avec 24 de ses homologues. "Je n'ai pas informé les présidents et les chefs de gouvernement parce que je n'ai pas à le faire. Il s'agit d'une décision souveraine que nous Espagnols, nous prenons", a-t-il soutenu au cours de sa conférence de presse.
Les ministres des Finances de la zone euro devraient commencer à étudier de premiers éléments chiffrés du budget espagnol lors d'une réunion de l'Eurogroupe lundi 12 mars à Bruxelles, selon la source proche du dossier.
Mais selon une source diplomatique, il est impossible de demander à Madrid de revenir à 4,4 % de déficit cette année après un déficit public qui a explosé à 8,51 % en 2011.
http://www.boursorama.com/actualites/la-commission-europenne-juge-grave-le-derapage-budgetaire-espagnol-c48ace8c5e5dd10752b00c5c027b864f
Rédigé par : BA | 05 mars 2012 à 15:04
Le vrai problème de ces sociétés occidentales c'est qu'elle ne sont plus occidentales pour très longtemps.
Avec cet invasion massive et continuelle d'immigrés, majoritairement musulmans, on assiste à une dénaturation totale de la civilisation occidentale.
Les idiots utiles dont vous nous parlez ne peuvent parler que parcequ'ils sont assis sur une base électorale solide, et cette base électorale est consolidée par le vote massif des émigrés pour les thèses gauchistes.
Ces individus étant exclusivement issus de pays anti-démocratiques, anti-économique et despotique, ce n'est pas un hasard s'ils nous choisissent des futurs chefs populistes, incultes, anti-démocratiques et anti-économiques.
La décadence du monde occidentale n'est que la rançon de 40 ans d'immigrationnite aigue qui a achevé l'occident malade !
En Allemange, en Angleterre, en Suede vous pouvez encore avoir des discours sérieux et compris par la population pour se serrer la ceinture, resorber les déficits. Ce discours est inaudible en France du fait que la composition létale de la population française faite de 40% de gauchistes primaires et de 30% d'immigrés inaptes à l'exercice démocratique. Regardez ce que les elections Tunisiennes de Tunisiens vivant en France ont donné : un vote pour les islamistes ! Et ils vivent sur notre sol au sein de la société Française ! Et je n'ai parlé des autres orientaux vivant en France et prétendant nous faire croire qu'ils vivent à la mode occidentale.
Ainsi bientot même en Suede ou en Allemagne les discours sérieux de rigueur budgétaire deviendront inaudible à mesure que les immigrés envahiront ces pays pour consolider le socle électoral de tous les anti-capitalistes, anti-démocratiques et anti-laiques et les anti-économiques !
Continuez à dormir, le bateau coule. Mais comme il coule lentement alors vous ne voyez rien !
Rédigé par : Quimboiseur | 05 mars 2012 à 15:22
"Il valait mieux changer d' avatar, un Sud Coréen a inculpé sur twitter pour avoir avouer son admiration pour le cher leader: "
Kim l'islamo confus
Pauvre confus. Fou et paranoïaque. J'aimerai pas être dans ta tête...
Rédigé par : G.M. | 05 mars 2012 à 21:47
Geert Wilders autoritariste ? Ce n'est pas sérieux. Wilders est libéral.
Et puis, il faudrait arrêter d'employer le terme de xénophobe à tort et à travers. Celui qui est xénophobe, c'est l'assassin de Theo van Gogh, ce ne sont pas les Hollandais qui cherchent à se protéger des agressions et des meurtres commis par l'islam.
Est-ce que les Juifs qui ont commencé, à nouveau, à quitter l'Europe pour fuir la menace musulmane sont xénophobes, eux aussi ?
Est-ce que les 7 000 Juifs français qui ont adressé une pétition au Congrès américain pour réclamer, à leur bénéfice, le statut de réfugiés politiques sont xénophobes, eux aussi ?
Est-ce que la nouvelle colonie franco-juive qui s'est installée à Miami, pour éviter que ses enfants ne se fassent un jour massacrer par les musulmans "français", est xénophobe, elle aussi ?
Est-ce que les Juifs nés en Europe qui émigrent en Israël, l'un des pays en guerre les plus menacés de la planète, afin de se mettre à l'abri du djihad, sont xénophobes, eux aussi ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 mars 2012 à 23:56
@ Marchenoir,
" Geert Wilders autoritariste ? Ce n'est pas sérieux. Wilders est libéral. "
L'un n'empêche pas forcemment l'autre. Sa croisade contre l'islamisme radical qui voit cela comme une menace pour nos valeurs lui confère une sorte d'autoritarisme. C'est l'étiquette d'extrêmiste de droite que l'on lui colle sans cesses qui n'est pas sérieux.
D.J
Rédigé par : D.J | 06 mars 2012 à 10:14
L'homme reste l'homme.
Par conséquent, rien n'est jamais acquis. C'est pourquoi parler de "fin de l'histoire" est d'une prétention et d'un aveuglement sans nom.
Un Karl Popper du XXIè siècle n'y changerait rien.
Ce n'est pas d'un manque de légitimité intellectuelle que souffre la démocratie libérale. Le peuple se fout de la "légitimité intellectuelle", et c'est lui qui décide.
Le peuple veut viscéralement la justice et l'égalité.
Or, le libéralisme mondialisé, qui bénéficie avant tout (du point de vue du peuple occidental) à la super-classe financière, politico-financière, et à une petite élite de dirigeants, ce que vous refusez de voir par idéologie viscéralement anti-marxiste, perd progressivement sa légitimité, de même que la monarchie la perdit, à cause des ses privilèges exorbitants, de sa corruption et de son cynisme, et des difficultés croissantes qu'avaient le peuple à joindre les deux bouts.
Bref: au lieu de taper sans cesse sur le peuple et sa tentation autoritariste, rangez l'idéologie au vestiaire (mais est-ce possible?) et faites d'abord et aussi le ménage dans "votre camp".
Rédigé par : ETF | 06 mars 2012 à 10:58
" Or, le libéralisme mondialisé, qui bénéficie avant tout (du point de vue du peuple occidental) à la super-classe financière, politico-financière, et à une petite élite de dirigeants "
Fermons les frontières par le protectionisme économique et vous verez bien qui finalement avec tout les emplois qui en dépendaient profitaient vraiment du commerce mondial libéral.
D.J
Rédigé par : D.J | 06 mars 2012 à 11:59
En réalité, Guy Sorman est libéral tendande ENA (c'est à dire technocratique).
Il aurait été plus constructif de faire une vraie "pédagogie" libérale en France pour que la population s'en approprie les principes et choisisse elle-même les changements à réaliser plutôt que ce qui a été fait en France et en Europe depuis 20 ans c'est-à-dire un pseudo-libéralisme mise en place par des élites politiques technocratiques.
C’est en raison de cette façon de procéder que les phénomènes de raidissement apparaissent en France, les Français n’aiment pas être piloté par des élites, c’est un peuple égalitaire.
Et plutôt que l’Euro il aurait été préférable de laisser à chacun le choix de sa monnaie parmi les monnaies européenne existantes, c’est ce qui aurait abouti à un processus d’harmonisation économique, fiscale et sociales qui aurait évité le naufrage de plusieurs pays européen.
Actuellement les banques de la zone euro évitent de réaliser des opérations hors de leur pays, donc de fait le marché monétaire n’existe plus au sein de la zone euro.
Et si les Français avaient refusé d’adapter leur économie à la mondialisation alors cela aurait conduit à des difficultés économiques qui auraient abouti à voir la réalité en face bien plus tôt, l’Euro nous a fait perdre 10 ans, et nous a ruiné.
Rédigé par : Jean | 06 mars 2012 à 12:25
@ Jean,
Pour de la vraie pédagogie libéral; Sorman a sorti " la nouvelle solution libéral " ou " Le capitalisme suite est fin " Il n'y a rien de technocratique made in ENA dans ces ouvrages.
D.J
Rédigé par : D.J | 06 mars 2012 à 12:35
Il y a effectivement contradiction chez notre taulier.
Quand la technocratie choisit l'euro (et l'intégration européenne) contre l'avis du peuple, rien à redire.
Mais quand on la trouve à la tête d'un gouvernement, attention, danger !
Deux poids, deux mesures, once again.
DJ, le "libéralisme" est un terme beaucoup trop vague, acomodable à beaucoup trop de sauces, pour être pris au sérieux.
Rédigé par : ETF | 06 mars 2012 à 13:43
" Il y a effectivement contradiction chez notre taulier.
Quand la technocratie choisit l'euro (et l'intégration européenne) contre l'avis du peuple, rien à redire. "
Qu'est-ce qui ce décident par la démocratie direct dans les pays de l'union européenne? Est cela dépend toujours de quelle bord on se trouve. C'est du bon sens quand cela nous plaît et de la technocratie antidémocratique quand cela nous plaît pas.
" DJ, le "libéralisme" est un terme beaucoup trop vague, accomodable à beaucoup trop de sauces, pour être pris au sérieux. "
C'est justement parce que c'est le libéralisme. Il n'y a pas de ligne et de pensée unique contrario de son contraire tel les régimes totalitaires.
D.J
Rédigé par : D.J | 06 mars 2012 à 15:27
Ceci étant, j'observe avec jubilation que dans un contexte économique et financier plus que précaire, la campagne présidentielle est toute focalisée sur les questions essentielles que sont la viande et l'abattage des bêtes, les traditions alimentaires religieuses et la mainmise islamiste sur la république. Plus besoin d'humoristes. L'original fait mieux. Si le ridicule tuait, il y n'aurait que cadavres.
Ce pourquoi on a parfois envie d'une bonne bouffée de technocratie.
Rédigé par : ETF | 06 mars 2012 à 15:44
@ ETF,
Vu qu'ils sont incapables de parler d'économie de façon rationnel, autant se détourner sur de l'irrationnel.
D.J
Rédigé par : D.J | 06 mars 2012 à 17:24
"J'observe avec jubilation que la campagne présidentielle est toute focalisée sur les questions essentielles que sont la mainmise islamiste sur la république." [ironie inside] (ETF)
Qu'est-ce qu'il y a de plus essentiel que l'indépendance et la souveraineté nationale ?
Pourquoi "avec jubilation" ? Vous considérez qu'on oublie les vrais problèmes, et ça vous fait jubiler ?
L'idéologie de gauche est vraiment une idéologie perverse.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 mars 2012 à 20:06
Je suis comme BA, je prends plaisir au désastre annoncé. La bourse s'effondre, la Grèce (puis le reste de l'Europe Méditerranéenne) approche de la faillite, la catastrophe approche à grands pas.
Il est donc grand temps de condamner le FLNC (Front de Libération des Néolithiques Carnivores), halal hystérique.
Rédigé par : ETF | 06 mars 2012 à 20:34
aujourd'hui 08/03 sur France Info, Michel Onfray était interrogé sur son livre consacré à Albert Camus. Sur ce qui rend Camus actuel, Onfray parle du totalitarisme, se met à décrire les totalitarismes d'extreme droite, puis décrit les totalitarismes communistes, et puis stupeur, il parle des totalitarismes actuels et cite très clairement le libéralisme comme étant un "fascisme light". pour Michel Onfray, le libéralisme est un fascisme "light", allégé mais un fascisme tout de même. J'en suis resté stupéfait. Guy Sorman serait donc un fasciste "light" ? Michel Onfray enseigne donc aux étudiants de son université populaire que libéralisme = fascisme. Perversion ultime des mots et des idées. C'est à vous Guy Sorman de combattre Michel Onfray et ses sophismes débiles !
Rédigé par : MONSTERS | 08 mars 2012 à 18:57
Je trouve insultant de se faire traiter de 'xénophobe' ou de 'nationaliste régressif', si on ne partage à 100% le point de vue des libéraux qui ne voient que des avantages à la mondialisation.
J'habite à Genève dans l'informatique et je vois chaque jour les méfaits de la mondialisation. A compétence égal, les employeurs préfèrent maintenant engagé un français plutôt qu'un Suisse, car bien sûr cela lui revient moins cher. On est clairement défavorisé si on a la nationalité Suisse, ce qui est quand même un comble. On ne peut évidemment accepter les mêmes salaires qu'un frontalier, car les coûts sont beaucoup plus élevés en Suisse.
J'ai d'anciens collègues suisse qui sont au chômage qui envoient leur dossier partout sans succès. Par contre je vois chaque jour des français, qui viennent de toute la France, se faire engagé!
Je ne crois pas que les gens sont meilleures ou pires suivant leur nationalité, leur couleur de peau, ou leur race, mais je crois qu'il faut un minimum de règles dans l'économie, autrement c'est la loi de la jungle.
Mais les libéraux ont un dogme : le libre marché, qui est censé être le système parfait! Et si on est pas d'accord, on est un pauvre xénophobe qui ne comprend rien à l'économie!!
Rédigé par : Phil | 08 mars 2012 à 19:01
Michel Onfray a le droit à ses opinions. Il enseigne (bénévolement) aux adultes de son université populaire, non seulement la philosophie, mais aussi et surtout à penser par eux-mêmes et surtout pas à le suivre. Rien de pervers là dedans.
Onfray est, avant tout, un esprit libre, un libertaire.
Je ne vois franchement pas, tendance politiques à part, qu'un océan le sépare de notre taulier. Il n'est pas libéral, certes, mais d'une part, on ne sait plus trop ce que le libéralisme veut dire, d'autre part, Onfray n'est pas non plus anti-capitaliste. Onfray est anti-PCC, anti-PC Cubain, anti-Marxiste, anti-totalitarismes sous toutes leurs formes. Un amoureux de liberté, d'art, de culture. Ce en quoi, je pense, il partage l'essentiel avec Sorman. Ou peut-être voudriez-vous qu'il y ait, du point de vue politique, une pensée unique ?
Au lieu d'enfourcher votre monture, Monsters, exposez plutôt en quoi Onfray parle de fascisme light. Collusion enter l'état et les entreprises ? Quoi ?
Rédigé par : ETF | 08 mars 2012 à 19:13
l'interview de Michel Onfray était très courte, peut-être pas plus de 2 minutes, mais il a parfaitement dit que le libéralisme était un fascisme light (ce sont les mots exacts qu'il a employé), et ce juste après avoir rappellé les fascismes d'extreme-droite (nazisme, fascisme italien, etc) puis communistes. ce n'est donc pas un accident de language mais une argumentation réfléchie traduisant la pensée d'Onfray dans une perspective historique qu'on peut résumer par : le totalitarisme, du nazisme au libéralisme. Onfray est certainement un esprit libre, un libertaire, pourquoi pas un libertarien, mais sur le fond, son "libéralisme=fascisme light" c'est digne de Melenchon-Danton.
Rédigé par : MONSTERS | 08 mars 2012 à 20:35
@ Phil,
Les frontaliers français qui piquent le boulot des genevois tient plus de la légende urbaine. Les frontaliers occupent pour la plupart des postes qui ne trouvent pas preneur chez par les genevois. C'est le manque de personnel qualifier qui poussent les frontaliers à venir en Suisse. On oublie également et c'est les chiffres qui le disent; que les frontaliers paient bien plus que les genevois les licenciements due à la crise économique. Sans cette masse de frontaliers; les hôpitaux genevois par exemple auraient une cruelle pénurie d'infirmières et de médecins.
De plus avec la pénurie de logements à Genève et le prix du terrain exorbitant; un grand nombre de genevois se sont exilés en France voisine. Il y a de plus en plus de voitures à plaques françaises conduites par des genevois qui franchissent la frontière pour aller travailler.
Et précisons; que le taux de chômage sur Genève février 2012 et d'environ 5,5%. contre 3,4% de moyenne nationale.
Mais on sait qu'en Suisse avec 4% de chômage; c'est pour nous la catastrophe.
D.J
Rédigé par : D.J | 08 mars 2012 à 21:10
libéralisme fascisme light? Libéralisme et fascisme est oxymore. Le fascisme est une absence de liberté, d'état de droit et c'est un système socialiste-nationaliste. Il aura plus développer cette définition pour savoir ce qu'il voulait dire.
Ce serait comme de dire que le fascisme sous Mussolini serait un libéralisme light.
D.J
Rédigé par : D.J | 08 mars 2012 à 21:18
L'interview d'Onfray était trop courte pour qu'il ait le temps de développer. C'est effectivement idiot d'employer ces termes sans avoir le temps de s'expliquer, donc un mauvais point pour Onfray.
A noter qu'Onfray soutenait Melenchon jusqu'à ce qu'il l'entende dire que Cuba n'était pas une dictature. Il a renoncé à le soutenir.
Onfray, gauchiste anti-libéral (encore une fois, à définir), pro-capitaliste, anti-Marxiste, pro-démocratie et viscéralement anti-totalitaire, qui était sur le point d'écrire un livre attaquant les "réchauffistes" (comme ils sont appelés ici), etc.
Bref. Onfray mérite mieux que d'être mis dans une case, même s'il a ses excès de fougue et de langage.
Rédigé par : ETF | 08 mars 2012 à 21:30
D.J:
Je ne parle pas de légendes urbaines mais de vécu avec des sociétés de services qui n'engagent pratiquement que des français alors qu'il y a aussi des informaticiens suisses sur le marché qui sont aussi compétents, avec le même niveau de connaissances et des études similaires. Evidemment pour les employeurs c'est tout bénéfice de parler de pénurie d'employés qualifiés, comme cela ils peuvent 'justifier' qu'ils ne peuvent pas engager des gens locaux.
Il faudra m'expliquer pourquoi dans les dernières sociétés ou j'ai travaillé j'étais un des rares suisse ,alors que dans mon entourage j'ai des anciens collègues qui ne trouvent du travail nulle part et qui sont tout aussi compétents que les autres, alors que ces sociétés engagent fréquemment des frontaliers.
C'est une des faiblesses des 'libéraux' qui ne reconnaissent aucun désavantage à la mondialisation et qui ne savent parler que manque de compétitivité, alors qu'il existe la concurrence déloyale. D'ailleurs le phénomène de délocalisation ne concerne pas seulement les emplois 'non qualifiés', mais de plus en plus tous les emplois. La seule réponse est de dire qu'il suffit d'être plus productif, mais il faudra qu'on m'explique comment un employé Suisse qui est évidemment beaucoup payé qu'un roumain ou indien, celui-ci pourra être 'compétitif'.
Un autre problème du à l'ouverture totale des frontières est l'agrandissement de la population dans la région et les problèmes qui s'en suivent avec des problèmes de trafic de plus en plus grand. Pratiquement toutes les routes autour de Genève sont pratiquement congestionnées durant toute la journée.
Rédigé par : Phil | 08 mars 2012 à 22:48
Chouette, une guerre entre Hélvettes !
Rédigé par : ETF | 08 mars 2012 à 23:35
Il est possible de ne pas lire ni écouter Michel Onfray qui est en quête d'audience par la provocation plus que de vérité , amer de n'être pas reconnu par le monde universitaire. Et jaloux de BHL qui occupe un plus vaste espace médiatique. L' embarassant avec Onfray et souvent avec BHL, est qu'à force de publier des biographies d'autres philosophes , Camus, Sartre ( Pour Luc Ferry, ce serait plutôt Platon , Descartes ), on ne sait plus ce que eux, représentent et pensent? Mais, bon, " chacun sa vie , chacun ses poches" ( Ben).
Rédigé par : guy sorman | 09 mars 2012 à 00:07
Cheap shots, cher taulier. Ce sont plutôt les universitaires (et BHL) qui envient Onfray, sa popularité et surtout, ses ventes en librairie.
Onfray qui fait de la philosophie, non une science du cimetière, étude exégétique de textes anciens, mais un art de vivre, quoiqu'on en pense.
Onfray, difficile de savoir ce qu'il pense?
Soit vous plaisantez, soit vous ne vous y intéressez pas, ce qui est votre droit d'ailleurs. Onfray a écrit suffisamment de livre qui livrent sa propre philosophie pour que quiconque s'intéresse un tant soit peu à sa pensée ne puisse prendre vos rosseries au sérieux.
Rédigé par : ETF | 09 mars 2012 à 05:00
@BA
Je pensais qu'après avoir dénoncé vos erreurs, inepties, approximations et autres interventions hors sujet, vous alliez avoir l'humilité (non pas de vous excuser) mais au moins de quitter ce blog qui, clairement, est hors de votre portée intellectuelle.
Alors, si la démonstration brutale de vos erreurs ne suffit pas, je vous demande, je vous conjure d'aller troller d'autres blogs que celui de l'excellentissime Guy Sorman !
D'avance, merci.
Rédigé par : André | 09 mars 2012 à 06:17
Au fait, Guy Sorman avait écrit que le pourcentage de Français qui travaillent réellement était de 55 %.
Je lui avait alors demandé :
"Vos sources, Guy Sorman ?"
Aussitôt, André était intervenu pour condamner mon crime de lèse-majesté.
Vous vous rendez compte ? J'avais osé demander à Guy Sorman quelles étaient ses sources concernant ce chiffre de 55 % ...
André était scandalisé de ce crime de lèse-majesté.
Depuis, on y voit plus clair.
Guy Sorman a effacé sa phrase concernant les soi-disant 55 % de Français qui travaillent réellement.
Guy Sorman a aussi effacé l'intervention délirante de son délirant défenseur André.
Tu m'étonnes !
Rédigé par : BA | 09 mars 2012 à 08:40
@BA
Avec votre science et votre sens inné de la répartie, pouvez-vous nous honorer de vos commentaires sur ces deux articles :
Le risque de crise grave en zone euro est "écarté"
http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2012/03/09/le-risque-de-crise-grave-en-zone-euro-est-ecarte-selon-christine-lagarde_1655110_1581613.html
Ou encore :
Succès pour le plan de restructuration de la dette grecque
http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2012/03/09/succes-pour-le-plan-de-restructuration-de-la-dette-grecque_1655124_1581613.html
Et je maintiens que votre "Vos sources, Guy Sorman ?" est mythique. Le petit instit de banlieue qui se permet cette apostrophe envers le gigantesque Sorman est absolument iconoclaste.
Rédigé par : Albert | 09 mars 2012 à 12:36
Jeudi 1er mars 2011 :
L'Insee précise également que le taux d'emploi des 15-64 ans est stable au quatrième trimestre comme sur l'année. Il atteignait 63,8 % fin 2011.
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201925874305-le-taux-de-chomage-a-atteint-9-4-fin-2011-296704.php
Pourcentage des Français qui travaillent réellement : 63,8 %.
Pourcentage des Etatsuniens qui travaillent réellement : 63,7 %.
Conclusion :
Le gigantesque Guy Sorman avait tort avec ses soi-disant 55 %.
Le petit instit de banlieue avait raison.
Albert, alias André, alias Luc Van Mulders, avait encore perdu une bonne occasion de se taire avec ses délires. Comme d'habitude.
Rédigé par : BA | 09 mars 2012 à 12:50
@ Albert,
Débattre avec BA ce serait comme de débattre avec un spam. Il publie sans arrêt ses chiffres comme un vrai robot. J'en serais presque certain, si il n'y avait pas d'anti-spam lorsque l'on doit poster un commentaire.
D.J
Rédigé par : D.J | 09 mars 2012 à 15:45
D.J, tu ne comprends rien ?
Ou alors tu fais semblant de ne rien comprendre ?
Il n'y a pas d'un côté la France qui tombe au fond du trou avec un taux d'emploi de seulement 55 % (selon le gigantesque Guy Sorman), et de l'autre côté les Etats-Unis avec un taux d'emploi très très élevé, les Etats-Unis dans lesquels "LA CRISE EST FINIE" (selon le gigantesque Guy Sorman).
Non.
Pas du tout.
En France, le pourcentage de gens qui travaillent réellement est le même pourcentage qu'aux Etats-Unis.
Tu comprends ça ?
Rédigé par : BA | 09 mars 2012 à 16:18
@ BA,
C'est vous qui avez pas compris à mon dernier commentaire. Si l'on faisait tous commentaires comme vous; Guy aurait fermé son blog depuis longtemps.
Vous devriez arrêter de nous balancer vos wagons de chiffres sans arrêt. Essayez un peu de penser un peu plus par vous même en argumentant sur ce qu'écrit Sorman.
Vous avez bien quand même des opinions personnelles je suppose?
D.J
Rédigé par : D.J | 09 mars 2012 à 18:39
BA GS a beaucoup voyagé. Il sait très bien que les USA sont plus riche que l' Europe.L' autre jour je me suis rendu compte de la misère des arabes, chinois ou africains vivant à Paris. Et dire que leurs pays d' origine sont bien plus pauvres ,c' est tristes. Les USAs sont à la fois riche et démocratique de plus pas de risque d' extrémisme car de fait parti unique.
Rédigé par : Islamo Confucianiste | 09 mars 2012 à 19:50
@BA
"Pourcentage des Etatsuniens qui travaillent réellement : 63,7 %."
Vos source, Bruno Arfeuille ?
Ce que je veux dire, cher Bruno, c'est que (outre le fait que vous n'avez pas répondu à mes deux articles "massue"), on s'en moque du débat sur "qui a sorti la bonne statistique" ou du fait que GS ait pu (ou non) se tromper.
Ce que je trouve (personnellement) amusant, c'est la désinvolture avec laquelle vous vous êtes permis d'apostropher GS.
Et ce que je regrette, comme d'autres visiblement, ce sont vos copiers / collers incessants, hors sujets, non commentés, vos statistiques insignifiantes (comme les taux Bloomberg qui - soit dit en passant - sont en forte baisse ces derniers temps - j'attends toujours votre explication...), vos articles non mis en perspective et perpétuellement négatifs (alors qu'il y a tout de même des bonnes nouvelles écomoniques, même si ça be vous plaît pas) et ponctuez de "vous comprenez", "non mais vous avez vu" et autres "je vous l'avais bien dit".
Je suggère que vous alliez troller d'autres blogs que l'excellentissime GS.
Merci d'avance !
Rédigé par : Lionel | 09 mars 2012 à 20:52
Lionel, alias Albert, alias André, alias Luc Van Mulders, je vais t'expliquer une dernière fois le problème :
il n'y a pas la méchante France étatiste dans laquelle seulement 55 % de la population travaille réellement (selon les "chiffres" de l'excellentissime Guy Sorman)
et les gentils Etats-Unis libéraux dans lesquels "LA CRISE EST FINIE" (selon l'excellentissime Guy Sorman).
En réalité, les chiffres montrent que le pourcentage de gens qui travaillent réellement est identique dans ces deux pays.
France : 63,8 %. Source : l'INSEE, citée dans le journal Les Echos :
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201925874305-le-taux-de-chomage-a-atteint-9-4-fin-2011-296704.php
Etats-Unis : 63,9 %. Source : le BLS :
http://data.bls.gov/timeseries/LNS11300000
Quand l'excellentissime Guy Sorman avait écrit sur ce blog que le pourcentage pour la France était seulement de 55 %, je lui avais posé la question :
"Vos sources, Guy Sorman ?"
J'attends encore sa réponse aujourd'hui.
Rédigé par : BA | 09 mars 2012 à 21:26
Vous êtes mythique, BA, mythique.
Avec une telle réponse, je comprends que plus personne ne prête la moindre attention à vos interventions...
Rédigé par : Paul | 10 mars 2012 à 07:17
Adoptons donc un regard positif comme nous le chantent les Monty Python :
Always Look On The Bright Side of Life
http://www.youtube.com/watch?v=WlBiLNN1NhQ&feature=relmfu
Rédigé par : Jean | 10 mars 2012 à 19:38
Je me demande si ces technocraties hongroises ou chinoises ne sont pas meilleures que le systeme francais ou le pouvoir est a chaque fois accapare grace a un deluge de promesses demagogiques (comme en ce moment meme).
Rédigé par : EnDirectDeChine | 11 mars 2012 à 08:25
L' autre jour, je suis allé faire mes courses à Paris 13, le quartier chinois, des HLMs, des miséreux. Il y a plein de fous, de vieux tremblants, des clodos. La misère. Ils sont encore plus pauvre en Asie. Aussi dans la rue, je croise des Indiens, des arabes au regard louche, des bandes de chomeurs blacks , blancs à la démarche de rappeurs. Aux USAs, cela doit être pareil avec les gangs. Seules les minorités Khazars Ashkénazes et quelques rares japonais sont riches. J' avais pas remarqué que la minorité dont je fais parti était misérables. En psychiatrie,2 juifs dont 1 polonais , 3 femmes d' origine allemande schizos, délirants, sarko n' aime pas les malades mentaux mais des malades schizo, Parkinson, Cancer, il y en a partout.
Rédigé par : Islamo Confucianiste | 11 mars 2012 à 09:11