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  • Parution le 15 mars 2012

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    Paru le 2 novembre 2009

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Commentaires

Cet article m'a fait penser à la manière dont André Siegfried introduisait son cours sur l'Angleterre, à Sciences Po,"Messieurs, l'Angleterre est une île"...
Et un tas de charbon et de fer, ajoutait-il. Si cette dernière constatation a perdu de son actualité, la première n'en reste pas moins pérenne.
Il faut quand même noter que dans l'optique libérale actuelle, l'Angleterre n'en cherche pas moins à attirer étudiants, cerveaux et capitaux et qu'elle a besoin du marché européen tout autant que du Commonwealth pour ses exportations.

La GB pourrait théoriquement très bien rester hors de l'UE. La Suisse non membre est intégrée économiquement dans l'UE avec les accords bilatéraux, Schengen, la libre circulation des personnes etc...

Mais le risque pour la GB si elle sort de l'UE est de voir l'UE l'envoyer paître pour tout accord bilatéraux en lui disant vous avez voulu partir maintenant démerdez-vous.

Déjà qu'entre la Suisse et l'UE les relations sont pas toujours facile.

D.J

Ce rapprochement entre le Japon et la Grande-Bretagne sur la base de leur insularité est très pertinent. En revanche, l'immigration ne peut pas constituer un point commun, puisque la Grande-Bretagne à l'instar de beaucoup de pays européens est littéralement envahie, tandis que l'immigration reste un phénomène marginal au Japon.

Il y un autre point qui différencie ces deux pays, c'est la propension ou non à vouloir diffuser ses normes. Les Japonais se complaisent dans le maintien de leurs particularismes, tandis que les Britanniques quand ils en ont à la fois l'intérêt et l'occasion imposent leurs normes: modèle économique, standards comptables, techniques financières, principes de gouvernance, etc...Il suffit de lire des publications comme The Economist pour percevoir une tonalité missionnaire dans certaines analyses sur d'autres pays ou parties du monde. Le méridien de Greenwich qui est la longitude de référence pour le monde entier est une illustration parmi d'autres.

La langue est une bonne illustration: Les Japonais sont indifférents au fait que le reste du monde ignore leur langue, alors que les Britanniques (et les Américains) voient dans la promotion de l'anglais un vecteur de puissance.

Il y un autre point qui différencie ces deux pays, c'est la propension ou non à vouloir diffuser ses normes. Les Japonais se complaisent dans le maintien de leurs particularismes, tandis que les Britanniques quand ils en ont à la fois l'intérêt et l'occasion imposent leurs normes: modèle économique, standards comptables, techniques financières, principes de gouvernance, etc...Il suffit de lire des publications comme The Economist pour percevoir une tonalité missionnaire dans certaines analyses sur d'autres pays ou parties du monde. Le méridien de Greenwich qui est la longitude de référence pour le monde entier est une illustration parmi d'autres.

As a recent newcomer to FWaD and your site, Domaine Rouge-Bleu, I would like to extend my appreciation to you, Kristin and all those who work to give us francophiles a taste of la belle france every week. Mille mercis.

So prevalent is this “little England” mood that Prime Minister David Cameron’s government is now tempted to hold a referendum to ask the British whether they want to remain within the European Union, a vote that even that arch euro-skeptic, Margaret Thatcher, never risked?

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