Parution le 15 mars 2012
Paru le 2 novembre 2009
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Superbe article...
Bravo!
Rédigé par : El oso | 07 septembre 2012 à 12:37
Bien dit, bien écrit. Bravo (bis)!
Rédigé par : Account Deleted | 07 septembre 2012 à 14:48
"nul risque de conflit majeur ne menace nos plans d'avenir"
Là franchement, je vous trouve un peut trop optimiste. Certes il n'y a pas de menaces extérieures à l'Europe.
Par contre, il y a beaucoup de menances intérieures. Et pour détruire une organisation, le plus efficace est de le faire de l'intérieur !
Rédigé par : Quimboiseur | 07 septembre 2012 à 16:55
magnifique plaidoyer fédéraliste !
Rédigé par : Le Parisien Libéral | 07 septembre 2012 à 17:05
Au delà de la question de la dette, l'Europe étant constitué de démocratie, il suffit qu'un électorat élise un gouvernement anti-euro ou même, opposé à la manière dont est gérée l'Europe, et le chateau de cartes vacille, voire, s'effondre. Le risque d'éclatement demeure donc entier et augmente même à mesure que s'aggrave la crise économique, et donc le mécontentement populaire. Simple mathématique.
Les réflexes nationaux et nationalistes demeurent entiers. Vos excès d'optimisme passés, cher taulier, devraient vous inciter à plus de prudence.
Croyez-vous vraiment que l'électorat allemand acceptera de financer indéfiniment la Grèce ou l'Espagne? Je n'en crois rien. L'Europe est donc engagée dans une course contre la montre, contre la colère montante des peuples.
Si l'Europe éclate, ce qui est à mon avis aussi probable que regrettable, ne sera pas le fait des banquiers ou des entrepreneurs, mais des peuples et du vote démocratique.
Et aux obsédés de l'immigration, je rappelle que ce n'est pas ici le sujet.
Rédigé par : ETF | 09 septembre 2012 à 12:17
Votre article me rappelle les mots de De Gaulle: "Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’Europe ! l’Europe ! l’Europe ! mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien."
Rédigé par : JulesXR52 | 09 septembre 2012 à 22:21
Vous avez supprimé votre billet ?
Votre avis a changé ?
L'Euro s'est-il sauvé par une porte dérobée ?
Comment la France arrivera-t-elle a être suffisamment compétitive dans les deux ans qui viennent pour pouvoir "vivre" avec l'Euro ?
Quand-est-il de la mobilité des personnes en zone euro nécessaire à la viabilité d'une monnaie unique ?
Faut-il une langue unique en zone euro et dans l'UE ? (j'ai entendu Alain Madelin sur BFM dire qu'un politicien français, peut-être Jacques Delors, avait envisagé cette possibilité dans les années 60).
Je ne suis pas abonné au Figaro et n'ai pu lire l'article de Jacques Sapir et Philippe Villin intitulé "Non à l'euro-déflation" dans lequel ils expliquent qu'avec l'Euro la France ne produira plus de voiture d'ici dix ans (d'après le commentaire de Jean-Jacques Netter sur son billet de l'Institut des Libertés daté de ce jour).
La stabilité du taux de change est-elle un argument pertinent pour juger de la pérennité de l'Euro ?
Avez-vous lu le dernier billet de Georges Lane intitulé : "Que reste-t-il de notre monnaie ?"
http://blog.georgeslane.fr/post/2012/09/08/Que-reste-t-il-de-notre-monnaie
Dans ce billet Georges Lane dit ceci :
"La monnaie a contribué à diminuer le coût de l’action d'échange de biens en propriété ou bien, si on préfère s’exprimer en termes rhétoriques, … la monnaie a contribué à réduire les "frictions" – pour reprendre le mot de J. Hicks (1935) - et autres inconvénients de l’économie ; et ce n'est pas fini.
Encore faut-il, pour pouvoir donner cette réponse, reconnaître le concept de « coût de l’action d’échange » ."
Ce concept de « coût de l’action d’échange » est selon lui essentiel car aujourd'hui :
" Les créances qui financent les déficits budgétaires des Etats des pays de la zone euro et qui sont achetées par les banques sont inscrites à l'actif du bilan comptable consolidé de celles-ci...
Ces créances, ces « dettes souveraines » (pour reprendre la façon anglo américaine de dénommer les « créances sur les Etats ») sont la contrepartie comptable partielle de la quantité de « ce qu'on dénomme aujourd'hui 'euro'», à savoir les montants des billets et des dépôts bancaires inscrits au passif du bilan comptable.
Sauf équilibre, sauf augmentation des prix des actifs composant l'actif comptable, le montant de l'actif ne peut qu'être inférieur au montant du passif, il y a des pertes supportées sur les créances du fait des débiteurs indélicats – particuliers, entreprises et Etats -.
Sauf « épargne nouvelle », il faut s'attendre alors à une augmentation des prix en euro, à une perte de pouvoir d'achat des détenteurs d'euro.
Aujourd'hui, et depuis quelques années, il y a un regain de dettes souveraines non honorées, il faut donc s'attendre à une augmentation des prix en euro, à une perte de pouvoir d'achat des détenteurs d'euro.
Tout cela ne saurait laisser croire à une relation économique fondamentale quelconque entre la monnaie et l'Etat"
Rédigé par : Jean | 10 septembre 2012 à 14:58
Ce qui compte c' est le PIB et non la croissance. L' Europe est à l' abri des protestations car c' est un continent riche. Le monde non occidental a des taux croissance de 4 à 7 % plus élevé, là bas la contestation y règne, le chaos que ces pays soient démocratiques ou non. Les révolutions arabes se sont déroulés dans des pays à fort taux de croissance et la contestation continue en egypte,au Bahrein,.. Ce qui lie ces pays c' est l' hostilité des populations envers Israel et la soumission de ces gouvernement envers le diktat USioniste et la soumission de ces population envers la civilisation judéo occidental. Je suis en train de lire la bible ancien testament et de me réconcilier avec Israel et la doctrine evangelique. Ce livre parait au premier abord violent mais la violence est inhérente à la nature humaine, cela change du bouddhisme qui voit la bonté dans tout être humain. L' ancien testament est plus naturel elle se rapproche du capitalisme et la sélection naturelle des forts sur les faibles, comme d' Israel sur ces voisins.
Rédigé par : Max Payne | 12 septembre 2012 à 02:39
Max, lit plutôt le bottin c'est bon pour ce que tu as.
Rédigé par : Jean | 12 septembre 2012 à 08:17
Et achète moi une grammaire, ça c'est bon pour moi.
Envoie un mail à Guy qui transmettra (on se donnera rendez-vous entre Paris et New-York voire entre Rio et De Janeiro).
Et accroche-toi, un jour tu t'en sortiras (tu as peut-être vécu une enfance difficile ou une rupture sentimentale douloureuse).
Je vais prier pour toi, et à ce titre j'ai élaboré un autel miniature où sont représentés tous les dieux connus sur terre (ça tient quand même dans une valise, mais c'est pratique).
Rédigé par : Jean | 12 septembre 2012 à 08:28
Il ne faut pas oublier ce que represente l'Euro ! Cette monnaie scelle en fait la consecration de l'Union Europeenne, et, en consequence sa sauvegarde est tres importante et ne doit pas etre negligee.
Rédigé par : trader options binaires | 04 novembre 2012 à 08:58
J'ai beaucoup apprecie la lecture de votre article, merci. Je suis, personnellement, persuadee que l'Euro n'est pas pres de nous quitter. Nous en separer serait revenir en arriere. Ce qui n'est pas souhaitable.
Rédigé par : traduction | 13 février 2013 à 20:11